Le drame qui s’est noué à Montauban dans la nuit du 20 au 21 juillet glace autant qu’il interroge. Une fillette de 12 ans, sans antécédent connu, a poignardé sa propre mère à la suite d’un différend banal. Derrière cet acte d’une extrême gravité, c’est tout un faisceau de questions sur l’enfance, la violence et la santé mentale qui se dessine.
Tout commence par un refus. Celui d’une mère, dans la nuit de dimanche à lundi, de partager le lit de sa fille. Une opposition maternelle en…