
La Confession Choc De Vitaa Sur La Chirurgie Esthétique
La confidence tombe comme une bombe dans les colonnes de Nous Deux. Vitaa, 42 ans, brise un tabou en révélant avoir eu recours à la chirurgie esthétique. Une opération réparatrice de la poitrine, décision mûrement réfléchie après avoir donné la vie à trois reprises.
« Après avoir nourri mes enfants au sein, j’ai ressenti le besoin de réparer ce que le temps et la vie avaient modifié », confie la chanteuse avec une sincérité rare. Une démarche assumée, loin de toute honte ou complexe. Pour l’artiste, il s’agit d’une reconstruction nécessaire après les transformations liées à la maternité et à l’allaitement.
La star de « Game Over » se montre transparente sur sa vision de la médecine esthétique. Lucide et mesurée, elle revendique son droit à disposer de son corps tout en gardant la tête froide face aux possibilités offertes par la chirurgie moderne.
Cette révélation survient dans un contexte où Vitaa traverse une période d’épanouissement total. Mariée à Hicham Bendaoud depuis 2010, mère de Liham, Adam et Noa, elle vient de se lancer dans un nouveau défi professionnel audacieux : la comédie. Un virage artistique qui témoigne de sa confiance retrouvée, tant sur le plan personnel que physique.
Pourtant, derrière cette assurance affichée, la chanteuse exprime aussi ses inquiétudes face aux dérives actuelles de la chirurgie esthétique.

Des Grossesses Qui Ont Marqué Sa Vie Et Son Corps
Ces inquiétudes, Vitaa les porte en elle depuis qu’elle a vécu dans sa chair les bouleversements de la maternité. Trois grossesses, trois épreuves qui ont transformé son rapport au corps.
La première en 2011 avec Liham. Puis Adam en 2014, dont l’arrivée reste gravée dans sa mémoire comme un cauchemar. Une septicémie immédiate frappe le nouveau-né. La terreur s’empare de la chanteuse. Ces heures d’angoisse face à la fragilité de son fils la marquent profondément. L’accouchement qui devait être une joie se mue en traumatisme.
Huit ans plus tard, en 2022, Noa voit le jour. Un « bébé miracle » selon ses propres mots, conçu pendant une pause de tournée. Mais là encore, l’accouchement tourne au drame. Les détails restent intimes, mais la souffrance transparaît dans ses confidences.
« J’ai allaité mes trois enfants », rappelle-t-elle. Un choix naturel qui laisse des traces. Seins déformés, corps meurtri par les grossesses successives. L’allaitement, acte d’amour maternel, devient aussi source de complexes.
Entre 2011 et 2022, son corps raconte l’histoire de ces maternités difficiles. Chaque cicatrice, chaque transformation porte la mémoire de ces moments intenses. La chirurgie réparatrice n’est plus un caprice, mais une réconciliation avec elle-même.
Cette reconstruction physique s’inscrit dans une démarche plus large de renaissance personnelle.

Une Mise En Garde Contre Les Dérives De La Chirurgie
Mais cette renaissance assumée ne l’aveugle pas sur les dangers qui guettent. Vitaa tire la sonnette d’alarme. Son expérience personnelle lui donne une légitimité particulière pour pointer du doigt les dérives actuelles.
« La nouvelle génération développe une sorte d’addiction à la chirurgie esthétique et je trouve ça dangereux », lance-t-elle sans détour. Le ton se fait grave. L’artiste qui a longtemps lutté contre ses « complexes profonds » mesure les risques de cette fuite en avant.
Les réseaux sociaux alimentent cette spirale. Retouches, filtres, standards de beauté impossibles. La frontière entre amélioration et déformation s’estompe. « Ce qui me fait peur, ce sont les dérives et les abus », confie-t-elle avec inquiétude.
Pour Vitaa, l’équilibre tient en un mot : discernement. « Si on l’utilise avec discernement, la médecine esthétique peut permettre de mieux vieillir », nuance-t-elle. Une approche raisonnée qui distingue besoin réel et caprice esthétique.
Son message résonne comme un plaidoyer pour l’acceptation de soi. « Nous sommes dans une époque où nous sommes capables de nous accepter comme nous sommes, d’assumer nos complexes et d’en faire une force », rappelle-t-elle avec conviction.
Cette sagesse acquise au fil des épreuves nourrit aujourd’hui sa nouvelle aventure professionnelle.

La Star Épanouie Entre Famille Et Nouveau Défi Professionnel
Cette sagesse nouvellement affirmée accompagne un tournant professionnel majeur. À 42 ans, Vitaa quitte le registre musical pour se lancer dans la comédie. Un pari audacieux qui la propulse chaque soir à 18h sur TF1 dans la série « Tout pour la lumière », également disponible sur Netflix.
Le virage pourrait surprendre. Pas son entourage. Hicham, son mari depuis 2010, soutient cette reconversion de A à Z. Plus qu’un époux, il co-pilote sa carrière en tant que manager et co-gérant d’Indifférence Prod. Leurs trois enfants, Liham, Adam et Noa, applaudissent cette nouvelle aventure de leur mère.
« Je m’épanouis pleinement dans cette expérience », confie l’artiste qui découvre les joies du plateau. Fini les studios d’enregistrement, place aux caméras et aux répliques. Une métamorphose qui révèle une facette inédite de son talent.
Mais cette exposition accrue n’entame pas ses principes. Vitaa maintient une séparation stricte entre vie publique et intimité familiale. Pas question d’exposer ses enfants aux projecteurs. Elle privilégie leur épanouissement dans une enfance « normale », loin des paillettes.
« À la maison, je ne mets pas en avant ma carrière musicale », révèle-t-elle. Une philosophie qui protège sa tribu des dérives du showbiz. Cette femme qui assume ses choix esthétiques défend aussi farouchement l’innocence de ses enfants.
Un équilibre parfait entre authenticité personnelle et protection familiale.