La colère est principalement ressentie dans la moitié supérieure du corps et peut surtout affecter le cœur.
C’est peut-être la raison pour laquelle nous ressentons l’envie de frapper quelque chose lorsque nous sommes contrariés. L’énergie émotionnelle devient intense dans les bras, et nous pouvons ressentir le besoin de la libérer.
Le fait de ressentir de la colère libère également de l’adrénaline, qui provoque une contraction des muscles et une augmentation de la pression artérielle.
Des études ont également établi un lien entre la colère refoulée et les maladies cardiaques et l’affaiblissement du système immunitaire.
La peur et le dégoût affectent également la partie supérieure du corps et le système cardiovasculaire.
La réaction de lutte ou de fuite de notre corps lorsque nous avons peur comprend la libération des hormones épinéphrine et norépinéphrine, qui aident à préparer nos muscles à une action violente.
Ces hormones augmentent l’activité du cœur et des poumons, ce qui coïncide avec le schéma de l’atlas émotionnel formulé par l’équipe de recherche.
La tristesse peut rester coincée dans la tête et la poitrine, tandis que la dépression désactive le bas du corps.
Des études ont montré que la dépression pouvait contribuer à des changements physiques dans le cerveau et provoquer des maux de tête et des inflammations.
Les sentiments de détresse peuvent également entraîner une perte d’intérêt pour certaines choses, ce qui pourrait expliquer pourquoi les membres ne sont pas mis en évidence dans la carte du corps.