Si la mort fascine autant qu’elle effraie, c’est qu’elle marque l’effacement progressif de ce qui fait de nous des êtres vivants et conscients. Loin d’être instantané, ce processus biologique suit un enchaînement précis, révélant les coulisses invisibles de notre dernier souffle.
Dans l’imaginaire collectif, la mort survient souvent d’un seul coup, comme un interrupteur qu’on éteint. Mais dans les faits, elle se déroule plutôt…