Après une année 2024 marquée par la maladie et les épreuves, Kate Middleton reprend progressivement ses activités publiques.
Si sa santé semble s’améliorer, un autre sujet délicat préoccupe désormais le couple princier : le choix de l’école de leur fils aîné, George, qui cristallise les tensions entre la princesse de Galles et le prince William.
L’annonce du cancer de Kate Middleton a secoué le Royaume-Uni en début d’année 2024. Quelques semaines après que le roi Charles III ait lui-même révélé être atteint de la même maladie, la princesse de Galles dévoilait à son tour faire face à un cancer. Soutenue par sa famille, notamment son époux le prince William, elle a suivi un traitement lourd, qu’elle a terminé en septembre dernier.
Aujourd’hui en rémission, Kate Middleton montre des signes clairs de rétablissement. Elle a repris certains engagements publics et réapparaît régulièrement dans les médias, sereine et déterminée à aller de l’avant. Mais cette période éprouvante semble avoir laissé des séquelles, y compris au sein de son couple.
Des divergences autour de l’avenir scolaire du prince George
Si le soutien de William a été sans faille durant la maladie de son épouse, le couple traverserait une zone de turbulence concernant une décision parentale cruciale : l’établissement scolaire de leur fils aîné, George, âgé de 11 ans. C’est ce qu’a révélé Helena Chard, présentatrice britannique et photographe proche des cercles royaux, lors d’un entretien avec Fox News Digital.
Depuis plusieurs années, Kate et William auraient des désaccords profonds sur le type d’éducation à offrir à George, qui représente l’avenir de la monarchie. Selon Chard, “le prince et la princesse de Galles se disputeraient et débattraient de cette décision depuis des années”. Une révélation qui montre que même au sommet de l’État, les dilemmes de parents sont universels.
Des écoles prestigieuses au cœur des discussions
Les spéculations vont bon train sur les établissements envisagés. Récemment, Kate Middleton aurait visité avec son fils le Marlborough College, l’école qu’elle-même a fréquentée dans sa jeunesse. Elle se serait également rendue à Eton College, l’établissement prestigieux qui a accueilli William et Harry.
Ces institutions, réservées traditionnellement à l’élite britannique, sont régulièrement choisies par les membres de la famille royale. Pourtant, selon Helena Chard, Kate ne serait pas entièrement convaincue par ce type d’environnement. Elle souhaiterait un cadre plus équilibré, moins strictement aristocratique, mettant l’accent sur le bien-être personnel plutôt que sur le prestige social.
Des souvenirs douloureux qui influencent leurs choix
Cette prudence de la princesse de Galles ne vient pas de nulle part. Comme l’explique Chard, “il y a une longue série de scolarités malheureuses au sein de la famille royale”. Le roi Charles aurait été particulièrement malheureux à Gordonstoun, école réputée austère. Le prince Harry, quant à lui, n’a jamais trouvé sa place à Eton, malgré son statut. Même Kate Middleton, avant Marlborough, aurait été victime de harcèlement scolaire, ce qui explique en partie sa vigilance.
C’est pourquoi elle privilégierait aujourd’hui une école mixte, moins élitiste, où George pourrait s’épanouir à l’abri de la pression médiatique et sociale. Une vision plus moderne et protectrice, qui pourrait s’opposer aux traditions que William semble vouloir préserver pour son fils.
Une décision capitale pour l’image de la monarchie
Le choix de l’établissement scolaire de George n’est pas qu’un simple débat familial : il s’agit d’un symbole fort pour l’avenir de la monarchie britannique. George, troisième dans l’ordre de succession, sera un jour appelé à régner. La manière dont il est éduqué et le cadre dans lequel il grandira influenceront profondément son rapport au pouvoir et à ses responsabilités.
Eton College, le plus grand internat d’Angleterre, pourrait peser dans la décision finale. Il incarne la continuité, la tradition, et a formé de nombreuses figures majeures de la politique et de la royauté. Mais dans une époque marquée par une remise en question croissante des privilèges et des élitismes, Kate Middleton pourrait bien imposer une vision plus adaptée à la réalité sociale actuelle.