Derrière les projecteurs et les refrains qui font vibrer des générations entières, Patrick Bruel cache un cœur passionné.
Connu pour ses textes romantiques et ses rôles marquants au cinéma, l’artiste cultive un certain mystère autour de sa vie amoureuse. Pourtant, certaines confidences révèlent un homme profondément romantique, prêt à tout pour l’amour.
Un chanteur au charme toujours intact
Depuis ses débuts, Patrick Bruel incarne l’image du séducteur tendre, celui dont les chansons murmurent des émotions que d’autres n’osent pas avouer. J’te l’dis quand même, Mon amant de Saint-Jean, ou Tout recommencer résonnent dans les salles combles où la majorité du public est féminin, fidèle depuis les premières notes. S’il est aujourd’hui une figure incontournable de la chanson française, Patrick Bruel est également un acteur reconnu, bien qu’il se montre plus discret sur son quotidien intime.
Une histoire d’amour intergénérationnelle
Depuis 2021, l’artiste partagerait sa vie avec Clémence, de 35 ans sa cadette, une relation dont il parle peu mais qui semble s’inscrire dans la durée. Leur complicité, bien que discrète, s’ajoute à une série d’histoires d’amour qui ont jalonné la vie de l’artiste. Avant Clémence, Patrick Bruel a connu plusieurs idylles marquantes, dont celle avec l’écrivaine Amanda Sthers, mère de ses deux fils, Oscar (né en 2003) et Léon (né en 2005). Le couple s’est séparé après trois ans de mariage, mais est resté lié par une affection sincère pour leurs enfants.
Des romances aux quatre coins du monde
À la suite de son divorce, Bruel a vécu d’autres histoires avec des femmes publiques ou plus discrètes : la journaliste Céline Bosquet, puis la mannequin Caroline Nielsen. Mais l’un de ses récits les plus touchants remonte à ses jeunes années : une passion intense pour une Brésilienne prénommée Patricia, qui lui a inspiré un geste des plus romantiques, digne d’un scénario de film.
Un périple d’amoureux transi
C’est dans une interview accordée à Paris Match que Patrick Bruel est revenu sur cette aventure amoureuse hors norme. À l’époque, Patricia vivait à New York. Le coût des billets d’avion décourageait beaucoup, mais pas lui. Pour contourner les prix élevés, il a tracé un itinéraire inédit : de la France au Luxembourg, puis en Islande, avant d’atteindre New York. Ce long voyage n’était pas motivé par un caprice, mais par l’élan du cœur. « Je l’avais appelée vers 4 heures du matin, donc 22 heures pour elle, lui souhaitant une bonne nuit en espérant la voir bientôt », raconte-t-il. Quelques heures plus tard, croissants en main, il embarquait pour la surprendre, atterrissant au petit matin dans la Grosse Pomme, à l’heure exacte où Patricia ouvrait les yeux. « Je trouvais ça joli », confie-t-il avec une tendresse qui en dit long.
