Ce mercredi 19 février, le Conseil d’État a confirmé la décision de l’Arcom d’arrêter la diffusion des chaînes C8 et NRJ12 sur la TNT, effective dès le vendredi 28 février à minuit.
Cette nouvelle a suscité une vive réaction de la part de Cyril Hanouna, figure emblématique de C8 où il anime « Touche pas à mon poste ». S’exprimant sur Europe 1 dans son émission « On marche sur la tête », Hanouna a partagé son absence de surprise face à cette décision, tout en soulignant que des alternatives sont déjà en cours de développement avec plusieurs groupes audiovisuels.
Réactions immédiates à la décision du Conseil d’État
Cyril Hanouna a réagi rapidement à la validation par le Conseil d’État de la cessation de diffusion de C8, manifestant une certaine résignation mais aussi une anticipation proactive. « Nous n’avions aucun espoir », a-t-il déclaré, ajoutant qu’il n’avait « jamais cru un instant » à un verdict différent. Malgré cela, il a affirmé que des plans étaient déjà en place pour continuer à divertir son public sur d’autres plateformes ou chaînes.
Écho émotionnel chez les téléspectateurs
La décision a également touché profondément les fidèles téléspectateurs de C8, comme en témoigne la réaction d’une auditrice, Marie, qui s’est exprimée en direct à Cyril Hanouna. Très affectée, elle a partagé combien les programmes de C8, notamment « Touche pas à mon poste », lui permettaient d’oublier les difficultés quotidiennes. « Le soir, c’était bien, on oubliait les mauvais moments de la journée », a-t-elle expliqué en larmes. Face à cette émotion, Hanouna a rassuré Marie et les autres fans : « On ne vous lâche pas, on ne va pas vous laisser tomber. »
Critiques envers d’autres animateurs de C8
L’auditrice a également exprimé son mécontentement envers d’autres personnalités de la chaîne, spécifiquement Bernard Montiel, critiquant ses commentaires sur les relations entre le président Emmanuel Macron et les médias. Sa frustration reflète un sentiment plus large de déception et de méfiance envers certains aspects du paysage médiatique.