« Maman est partie… » C’est avec ces mots teintés de simplicité que Thomas Dutronc a partagé la triste nouvelle du décès de Françoise Hardy sur Instagram, dans la nuit du 11 au 12 juin 2024.
L’icône des années 60, célèbre tant pour sa voix que pour son élégance, avait 80 ans et luttait depuis longtemps contre un cancer du système lymphatique.
Une Étoile des Années Yéyé
Françoise Hardy, symbole des années yéyé, a marqué de son empreinte l’histoire de la musique française avec ses nombreux tubes.
En dehors de sa carrière, sa vie privée a souvent été sous les feux de la rampe, notamment en raison de sa relation complexe et très médiatisée avec Jacques Dutronc, le père de son fils. Malgré leur séparation, Françoise Hardy et Jacques Dutronc ne se sont jamais officiellement divorcés.
Françoise Hardy et Jacques Dutronc, Amours et Mésententes
Le couple formé par Françoise Hardy et Jacques Dutronc est resté gravé dans la mémoire collective comme l’un des plus emblématiques du showbiz français.
« Il m’a rendu malheureuse pendant longtemps mais quand j’y repense aujourd’hui, je n’ai aucun ressentiment. Je lui suis reconnaissante de m’avoir fait vivre des émotions aussi forte », avait confié Françoise en 2016, témoignant de la complexité de leurs sentiments mutuels.
Premiers Émois avec Jean-Marie Périer
Avant Jacques Dutronc, c’était Jean-Marie Périer, photographe au célèbre magazine ‘Salut les copains’, qui avait capturé le cœur de Françoise. Leur rencontre se fit lors d’une séance photo, dans une ambiance de timidité partagée qui marqua le début d’une histoire d’amour.
« Françoise détestait se faire photographier et elle n’avait aucune conscience de sa beauté. Je n’ai jamais vu plus séduisante, et j’en suis tombé amoureux tout de suite », se rappelle Jean-Marie Périer.
Cette relation, bien que marquée par une grande discrétion de part et d’autre, dura cinq ans, jusqu’à ce que Françoise tombe éperdument amoureuse de Jacques Dutronc, tournant ainsi la page sur son idylle avec Jean-Marie Périer.
Ces souvenirs d’amours passées, bien que relégués au passé, restent une partie intégrante de l’histoire personnelle et artistique de Françoise Hardy.