Adriana Karembeu, un nom qui résonne encore avec l’écho de sa carrière de top model et ses mariages médiatisés.
Malgré son divorce avec Christian Karembeu en 2011, Adriana a choisi de conserver son nom d’épouse, une décision qui suscite des réactions diverses, notamment de la part de Frank Leboeuf, un ancien coéquipier de Christian.
Adriana Karembeu a souvent été interrogée sur son choix de conserver le nom de son premier mari, Christian Karembeu, malgré leur divorce et son remariage avec André Ohanian.
Elle explique que, selon les coutumes de son pays natal, la Slovaquie, une femme divorcée garde le nom de son ex-mari à vie, sauf en cas de remariage.
« C’est compliqué, » admet-elle, « tout le monde me connaît sous ce nom, mais je n’ai plus le même lien avec mon ex-mari. »
Controverses et opinions
La décision d’Adriana de garder le nom « Karembeu » ne plaît pas à tout le monde. Frank Leboeuf, notamment, a exprimé son incompréhension et son désaccord lors d’une apparition sur le plateau de Chez Jordan.
« Pourquoi garde-t-elle le nom ‘Karembeu’ alors qu’ils ne sont plus ensemble ? », s’interroge-t-il, ajoutant qu’il n’aurait pas permis à son ex-femme de garder son nom.
Christian Karembeu, quant à lui, semble s’être résigné, même s’il aurait préféré une autre issue.
Amours sous les projecteurs
Malgré les controverses entourant son nom, Adriana Karembeu continue de vivre sa vie amoureuse sous les yeux du public.
Récemment, elle a été vue avec Marc Lavoine, leur relation attirant à la fois admiration et critiques, notamment de la part de Frank Leboeuf qui juge leurs apparitions publiques inutilement ostentatoires.
Pourtant, pour Adriana et Marc, l’important semble être leur bonheur mutuel, indifférents aux remous médiatiques.
Un équilibre fragile
Adriana Karembeu navigue entre son héritage professionnel, les attentes du public et sa vie personnelle complexe.
Elle symbolise la manière dont les décisions personnelles peuvent devenir des affaires publiques, surtout quand elles sont prises par des personnalités publiques.
Sa situation illustre la tension entre vie privée et attentes sociales, un équilibre toujours précaire dans le monde sous les projecteurs.