Dans le cadre de son rôle de présidente de la société Miss France, Alexia Laroche-Joubert a introduit des changements significatifs dans les critères de sélection du concours, influencée par son parcours personnel marqué par le deuil et la maternité.
Désormais, le concours est ouvert aux mères de famille, une décision qui reflète son engagement à rendre la compétition plus inclusive et représentative de toutes les femmes.
Sous la présidence d’Alexia Laroche-Joubert, les règles d’admission au concours Miss France ont évolué pour permettre aux mères de famille de participer.
Cette réforme, qui casse les conventions traditionnelles de ce concours de beauté, a été motivée par son vécu de mère célibataire et veuve.
Alexia Laroche-Joubert, ayant perdu son mari alors que sa fille Solveig n’avait qu’un an, connaît bien les défis de concilier obligations familiales et ambitions professionnelles.
Un débat parmi les Miss
La nouvelle règle a suscité un débat parmi les anciennes et l’actuelle Miss France, beaucoup exprimant des réserves sur la faisabilité de jongler entre les responsabilités de Miss France et celles d’une vie de famille.
Cependant, Alexia Laroche-Joubert défend cette ouverture, arguant que la capacité d’organisation peut permettre de surmonter ces défis.
Elle souligne que sa propre expérience en tant que mère célibataire l’a préparée à gérer simultanément une carrière exigeante et des responsabilités familiales.
Une histoire personnelle de résilience
Le parcours personnel d’Alexia Laroche-Joubert est marqué par des moments de grande tristesse et de force.
Après la mort de son premier mari, Yan-Phillippe Blanc, dans un accident de moto, elle a dû reconstruire sa vie tout en élevant sa jeune fille.
Son histoire ne se limite pas à sa résilience face au deuil ; elle comprend également la joie de la maternité à travers la naissance de sa deuxième fille, Isaure, et son nouveau bonheur avec Mathieu Grinberg.