Chaque année devenu un rituel, Intermarché dévoile une publicité de Noël capable de toucher le grand public en plein cœur.

Pour cette édition, l’enseigne frappe une nouvelle fois fort avec un conte moderne mettant en scène un loup solitaire, porté par l’un des titres les plus emblématiques de Claude François. Une fable poétique et malicieuse qui connaît déjà un succès mondial.
Depuis plusieurs années, Intermarché s’est fait une place à part dans la tradition publicitaire française grâce à des campagnes émouvantes, toujours accompagnées de chansons devenues virales.
Cette fois, l’enseigne innove en nous plongeant dans la vie du “premier loup qui n’avait pas d’amis”, un personnage tendre et maladroit.
Au lieu de chasser la faune de la forêt, le loup décide de se nourrir exclusivement de légumes, une initiative qui intrigue puis rassure les autres animaux.
Une idée simple, pleine d’humour, résumée par la punchline : « Pas facile de se faire des amis, quand on les mange. »
Derrière ce récit attachant, on retrouve la patte d’Illogic Studios, le collectif montpelliérain nommé aux Oscars pour un court métrage d’animation, qui signe ici une création visuelle minutieuse et pleine de poésie.
“Le mal-aimé”, une bande-son culte qui relance la magie

Pour accompagner cette histoire d’apprivoisement, Intermarché a choisi “Le mal-aimé”, l’un des titres les plus célèbres de Claude François.
Le morceau, utilisé avec subtilité, apporte une dimension nostalgique et symbolique :
un loup rejeté, un chanteur qui racontait les blessures du cœur, et une fable qui parle d’acceptation.
Un mélange qui touche en plein centre et qui permet à cette publicité d’être déjà visionnée plus de 9 millions de fois après avoir été partagée par un internaute anglophone sur X.
Le retour de Claude François au premier plan

Cette campagne offre également un éclairage inattendu sur l’actualité musicale de Claude François.
En parallèle du succès de la publicité, un nouveau best-of intitulé “Les refrains populaires” vient de paraître, regroupant 22 titres enregistrés entre 1972 et 1975.
On y retrouve des classiques comme “Le lundi au soleil”, “Le téléphone pleure”, “Belinda” ou encore “Chanson populaire”, rappelant la force d’un répertoire devenu intemporel.
La rencontre entre une figure mythique de la chanson française et une fable animée moderne redonne souffle à un patrimoine musical intergénérationnel.










