Jordan de Luxe, connu pour aborder des sujets financiers avec ses invités, a plongé dans les détails des affaires familiales de Pierre Dhostel lors de son émission du 29 juillet 2024.
Sur le plateau de « La piscine de Jordan de Luxe » sur C8, l’héritage de Pierre Bellemare, figure emblématique de la télévision française, était au cœur des discussions.
Pierre Dhostel, fils de Pierre Bellemare, a évoqué l’héritage laissé par son père, dissipant ainsi les idées reçues sur les fortunes posthumes des célébrités.
« Un million d’euros à partager à plusieurs. Et avec ma soeur, on a eu un petit pourcentage, » a-t-il révélé, soulignant une réalité souvent méconnue du grand public.
Malgré la carrière lucrative de son père, l’héritage ne fut pas aussi conséquent que certains auraient pu l’imaginer.
Les dépenses de Pierre Bellemare
Pierre Dhostel a également partagé des détails sur la gestion financière de son père, connue pour être particulièrement libre.
« Papa a gagné beaucoup d’argent, mais il a toujours tout dépensé. Il a pratiquement tout dépensé, » a-t-il expliqué, citant les dépenses continuelles en bateaux et en constructions dans le Périgord, où son père s’était retiré pour vivre ses dernières années.
Cette tendance a largement contribué à l’amenuisement de l’héritage potentiel.
Pas de droits d’auteur pour le fils
En discutant des droits d’auteur, Pierre Dhostel a clarifié une autre facette souvent mal comprise du patrimoine familial.
« Les droits d’auteur de mon père sont pour ma belle-mère, donc moi je n’ai aucun droit d’auteur, je n’ai rien, » a-t-il dit, réaffirmant que les bénéfices résiduels de l’œuvre de Pierre Bellemare ne lui revenaient pas.
Cette situation illustre bien la complexité des législations autour des droits d’auteur et des héritages.
Le tragique épilogue de Pierre Bellemare
L’émission a aussi été l’occasion pour Pierre Dhostel de partager un moment personnel et douloureux : la fin de vie de son père.
Après avoir souffert d’un AVC à Paris, les derniers mois de Pierre Bellemare ont été marqués par des difficultés de santé accrues, culminant avec des pertes de mémoire et des AVC mineurs répétés. « Ça a été très vite… En huit mois… » a-t-il conclu, avec émotion.