Michel Blanc, illustre membre de la troupe du Splendid, nous a quittés en octobre 2024 à l’âge de 72 ans, suite à une réaction allergique à un médicament.
Cette perte soudaine, survenue juste avant un examen de routine, a provoqué une onde de choc, marquée par une série de crises cardiaques fatales. Son décès a ému le public et a été largement pleuré dans le monde du spectacle et au-delà.
Les obsèques de Michel Blanc se sont tenues à l’Église Saint-Eustache, un lieu que l’acteur fréquentait assidûment. Ce dernier hommage a rassemblé de nombreuses figures, y compris ses camarades de longue date de la troupe du Splendid. Josiane Balasko, touchante, a pris la parole pour honorer sa mémoire lors de cette cérémonie poignante.
La disparition tragique et ses échos
La dépouille de l’acteur a ensuite été inhumée au cimetière du Père Lachaise, en présence de ses proches et collègues, dont Gérard Jugnot.
Ce dernier, dans une interview récente pour Paris Match, a exprimé l’absurdité et la brutalité de la perte de son ami, rappelant combien la vie peut être à la fois précieuse et cruellement imprévisible.
Un lien indéfectible entre les membres du Splendid
Gérard Jugnot a aussi partagé son sentiment sur la force du lien qui unissait la troupe du Splendid, soulignant la profonde amitié et la complicité qui perduraient, même en de rares occasions de retrouvailles.
Il a évoqué l’émotion et la peine palpables ressenties par le public, qui ont témoigné de l’impact de Michel Blanc sur le cœur des Français.
Un vide irremplaçable
Le chagrin partagé lors des obsèques et les condoléances reçues par les membres de la troupe témoignent de la place que Michel Blanc occupait dans la culture populaire française.
Jugnot a conclu en insistant sur le « gros manque » laissé par l’acteur, soulignant une connivence et une joie de vivre qui faisaient de lui une figure inoubliable du paysage cinématographique et théâtral français.