Christophe Dechavanne se retrouve dans une situation judiciaire délicate après avoir été condamné à une amende de 1200 euros et à l’annulation de son permis de conduire pour conduite sous l’effet de stupéfiants.
Cette affaire résonne tristement avec celle de l’humoriste Pierre Palmade, également impliqué dans des incidents liés à la drogue.
Dechavanne, comme Palmade, a été contrôlé positif à la cocaïne, mais dans des circonstances moins graves que celles de l’humoriste qui a été condamné à deux ans de prison ferme suite à un accident de la route. Christophe Dechavanne a choisi de faire appel de sa condamnation, niant fermement les faits qui lui sont reprochés.
Soutien passé à Pierre Palmade
Dans une révélation faite lors d’une interview en 2013 avec le magazine Society, Dechavanne avait partagé avoir conseillé Pierre Palmade par le passé sur ses problèmes de drogue, lui disant qu’il était « en train de se foutre en l’air ». Palmade avait alors temporairement cessé sa consommation, reconnaissant l’influence de Dechavanne dans cette décision.
Déni et défense
Face aux accusations, Christophe Dechavanne maintient sa position, soutenu par son avocat, Me Dylan Slama, qui conteste la validité des tests salivaires et plaide pour une « consommation passive » de cocaïne, alléguant que Dechavanne aurait été contaminé par un baiser avec une femme ayant consommé de la cocaïne. Cette défense originale soulève des questions sur les procédures de dépistage et leur fiabilité.
Réputation et clarifications
Dans une interview au Parisien, Dechavanne a précédemment nié toute dépendance à la drogue, affirmant être victime de rumeurs et ayant confronté directement ceux qui les propageaient. Il espère maintenant que son appel renversera sa condamnation et rétablira son image publique.