Dans un récent développement judiciaire, la justice française a statué sur une affaire de diffamation qui a commencé fin 2021, impliquant des accusations absurdes contre Brigitte Macron.
Deux femmes, se présentant comme une « médium » et une « journaliste indépendante », avaient propagé une rumeur selon laquelle la Première dame serait en réalité son frère ayant changé de sexe.
Ce jeudi 12 septembre, un verdict a été prononcé, mettant fin à cette saga judiciaire.
La cour a jugé les deux accusées coupables de complicité de diffamation publique à l’encontre de Brigitte Macron.
Chaque femme a été condamnée à une amende de 500 euros avec sursis. De plus, elles ont été ordonnées de verser 8.000 euros en réparation à Brigitte Macron, ainsi que 5.000 euros à son frère, Jean-Michel Trogneux, pour le préjudice subi. C
e jugement illustre la réponse de la justice française aux tentatives de nuire à la réputation par des informations fausses et malveillantes.
Contexte et Impact des Rumeurs
Les fausses allégations avaient émergé pour la première fois en décembre 2021 et avaient rapidement gagné en visibilité, forçant la Première dame à réagir.
En 2022, Brigitte Macron s’était exprimée sur RTL, soulignant son engagement contre le harcèlement et la nécessité de prendre des mesures juridiques.
« Si je ne fais rien alors que cela fait quatre ans que je suis contre le harcèlement, je ne suis pas audible, » avait-elle déclaré, exprimant sa consternation face à l’atteinte à son histoire familiale.
Le président Emmanuel Macron avait également commenté, critiquant la propagation de fausses informations et leur impact sur la vie privée.