Dans l’effervescence de l’inauguration du centre aquatique olympique de Saint-Denis, le 4 avril, une question brûlante a capté l’attention : la participation d’Aya Nakamura aux cérémonies des Jeux olympiques de Paris.
Le président Emmanuel Macron, abordant ce sujet épineux, a partagé son point de vue sans détour. L’artiste, au cœur d’une controverse, suscite un débat passionné. D’un côté, ses détracteurs critiquent la perspective de la voir incarner la culture française lors d’un événement d’une telle envergure, pointant du doigt la nature provocante de ses textes.
De l’autre, ses admirateurs applaudissent l’idée, convaincus que sa notoriété mondiale ne ferait qu’exalter le prestige des Jeux. Macron, dans une déclaration relayée par BFM TV, semble pencher en faveur de la chanteuse. « C’est une artiste emblématique, largement écoutée, qui résonne auprès de nombreux Français », a-t-il observé, laissant entendre son soutien à la liberté artistique des organisateurs des Jeux, désireux de refléter la diversité et l’excellence française.
Pendant ce temps, Aya Nakamura, loin de rester silencieuse, a pris la parole. Remerciant d’abord ses fans pour leur soutien, elle a ensuite lancé un nouveau single, « Doggy », perçu comme une réponse à la polémique. Les paroles, fidèles à son style, divisent : certains y voient un chef-d’œuvre, d’autres, une raison supplémentaire de critique.