Dans un revirement imprévu au tribunal judiciaire de Paris, Stéphane Plaza, l’animateur vedette de M6, ne s’est pas présenté à son procès initialement prévu pour le 28 août, invoquant des raisons de santé mentale.
L’affaire, qui concerne des accusations de violences envers deux ex-compagnes, prend ainsi un tournant dramatique, alimenté par des révélations médicales et des stratégies judiciaires qui posent autant de questions qu’elles apportent de réponses.
Alors que l’audience était très attendue, Stéphane Plaza ne s’est pas présenté devant le tribunal, une absence justifiée par un « problème de santé mentale » évoqué par ses avocats.
L’animateur a transmis un certificat médical daté du 22 août, détaillant une lutte contre une dépression sévère.
Ce document suggère même la possibilité d’une hospitalisation en milieu protégé, une mesure grave qui souligne l’étendue des troubles affectant Plaza.
Des symptômes alarmants
Le dossier médical partagé avec la cour révèle des symptômes inquiétants : angoisses massives, idées noires et troubles du sommeil.
Ces éléments ont mené le praticien à préconiser une hospitalisation, reflétant la profonde détresse psychologique de l’animateur.
Ce développement suggère un homme en proie à des tourments profonds, à un moment où il est censé répondre de graves accusations devant la justice.
Pressions médiatiques et défense judiciaire
#Plaza : Le président fait un point avant d’ouvrir les débats.
“Les faits nécessitent que le prévenu puisse s’exprimer. Et ce serait tout à son avantage. Mais on peut comprendre qu’il ne soit pas en capacité de comparaître…”
PUBLICITÉ:— Vincent Vantighem (@vvantighem) August 28, 2024
La défense de Plaza a mis en avant le « lynchage médiatique » comme facteur aggravant de sa santé mentale.
Dans une lettre adressée au tribunal le 23 août, l’animateur a demandé à être jugé en son absence, une requête qui semble dévoiler une stratégie de préservation face à l’assaut de l’opinion publique et des médias.
Les avocats de Plaza ont plaidé pour le report de l’audience, ce qui a été accordé par le tribunal jusqu’au 9 janvier.