Pendant son procès les 9 et 10 janvier, Stéphane Plaza s’est auto-désigné comme « lâche » et a évoqué un trouble de la dyspraxie pour expliquer ses actes de violence envers deux ex-compagnes.
Les témoignages des victimes, dont l’une a relaté avoir reçu un coup de poing à l’épaule durant l’été 2018, ont été…