Après une pause médiatique et un retrait progressif des projecteurs, Benjamin Castaldi refait surface avec une histoire pour le moins insolite.
L’ancien animateur télé et chroniqueur, blessé par… un hélicoptère télécommandé, partage son expérience entre humour, frayeur et reconnaissance. Retour sur cet incident qui aurait pu être bien plus grave.
Le 10 avril dernier, Benjamin Castaldi annonçait en direct son départ de la matinale d’Europe 2, six mois seulement après avoir pris les commandes. « Castaldi sur Europe 2, c’est fini », avait-il lancé avec un brin de mystère, laissant la porte ouverte à un éventuel retour. Quelques heures plus tard, il officialisait la nouvelle sur Instagram, remerciant chaleureusement son équipe et adressant ses vœux à la station. Son successeur ? Cauet, qui a repris le micro dès la semaine suivante. De son côté, Castaldi évoquait de nouveaux projets, dont une aventure théâtrale prévue pour 2026.
Un accident improbable… mais bien réel
Discret depuis son retrait radiophonique, Benjamin Castaldi est revenu dans l’actualité de manière inattendue : hospitalisé à Marseille après un accident domestique. C’est le blogueur Aqababe qui a révélé l’information, évoquant une blessure importante causée par un hélicoptère télécommandé. Un incident peu commun, mais pris très au sérieux : l’ancien animateur aurait perdu beaucoup de sang et nécessité une intervention d’urgence.
Une mésaventure racontée avec autodérision
Jamais à court d’humour, Benjamin Castaldi a choisi Instagram pour raconter l’événement avec son style bien à lui. Dans une story, il revient en détail sur cette scène surréaliste : « Dès le décollage, il m’a regardé (oui, je suis sûr qu’il m’a regardé), a fait un looping… et m’a foncé dessus comme si j’avais insulté sa mère ». Résultat : une main sérieusement blessée, des douleurs persistantes et, selon ses mots, « un traumatisme à chaque bruit d’hélice ». Une manière de dédramatiser, malgré la violence de l’incident.
Reconnaissance envers les soignants
Au-delà de la blague, l’ancien chroniqueur de TPMP a tenu à remercier les équipes médicales qui ont pris soin de lui. Le CHU Nord et l’hôpital La Timone à Marseille ont, selon ses propres mots, « recollé ses doigts et redonné foi en l’humanité ». Une déclaration touchante, où il oppose l’efficacité des soignants à l’hostilité – bien involontaire – de son jouet meurtrier. Un hommage sincère à ceux qui l’ont aidé à retrouver l’usage de sa main, et un rappel de la fragilité à laquelle chacun peut être confronté, même dans les circonstances les plus improbables.