Ce mardi 18 février, Stéphane Plaza a été confronté à une épreuve judiciaire significative.
L’animateur emblématique de M6 a été reconnu coupable de « violence habituelles sur concubin » à l’encontre de la première plaignante et condamné à 12 mois de prison avec sursis, tandis que les accusations de violences psychologiques portées par une seconde plaignante ont mené à sa relaxe. Peu après cette annonce, des rumeurs sur son possible retrait du monde télévisuel ont commencé à circuler, amplifiées par les déclarations de Gilles Verdez lors de l’émission « Touche pas à mon poste ».
Un verdict qui bouleverse
Suite au jugement, la chaîne M6 a annoncé l’arrêt de la diffusion des émissions de Plaza dès le 9 mars, ce qui a profondément affecté l’animateur, le poussant à envisager sérieusement l’arrêt de sa carrière télévisuelle. Cette décision, révélatrice de l’impact du verdict, marque un tournant dans la vie professionnelle de Plaza.
Une réaction émotionnelle intense
Gilles Verdez rapporte que Stéphane Plaza était visiblement dévasté par la décision du tribunal, au point de fondre en larmes et de s’agenouiller auprès de ses avocats. L’animateur a exprimé son intention de faire appel, cherchant à prouver son innocence face à des accusations qu’il conteste fermement. Sa détresse est palpable, selon les témoignages, reflétant la gravité de la situation pour lui.
Défense et perspectives d’appel
Les avocats de Plaza maintiennent une position de combat, armés de « preuves » qu’ils estiment suffisantes pour renverser le verdict initial. Ils décrivent le procès comme étant influencé par la médiatisation de l’affaire, arguant que le contexte n’a pas permis une décision impartiale. L’appel de Plaza pourrait donc mener à une révision de la peine, qui, selon Verdez, était déjà inférieure aux réquisitions du procureur.