Cyril Hanouna, célèbre animateur de « Touche pas à mon poste », manifeste son empathie envers les Parisiens confrontés à des difficultés en raison des nouvelles mesures de sécurité mises en place pour les Jeux Olympiques de Paris 2024.
À une semaine de la cérémonie d’ouverture, la situation dans la capitale française est tendue, avec l’instauration de zones de sécurité qui perturbent le quotidien des résidents et des commerçants.
Depuis le 18 juillet 2024, la préfecture de police a établi deux périmètres de sécurité autour de la Seine pour préparer la ville aux JO. La « zone grise », un périmètre de protection antiterroriste, limite strictement l’accès aux véhicules et exige des piétons un « Pass Jeux », un QR Code pour les résidents, les travailleurs, et les visiteurs avec réservations.
La « zone rouge » interdit toute circulation motorisée, permettant uniquement l’accès aux piétons et cyclistes. Ces restrictions ont soulevé la frustration parmi les Parisiens, notamment à cause de l’impact sur les activités commerciales locales.
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Sur la plateforme sociale X, Cyril Hanouna exprime sa solidarité avec ceux affectés par ces mesures. Le 19 juillet 2024, il publie : « Les chéris, je pense fort aux Parisiens qui vivent des moments très difficiles.
Commerçants, chauffeurs, restaurateurs qui sont à bout vu les conditions de circulation. Ils sont à terre niveau business ». Cette déclaration souligne les difficultés rencontrées par les petites entreprises, impactées par les perturbations des zones sécurisées.
Le déploiement de ces mesures de sécurité, bien que nécessaire pour la sûreté de l’événement, a clairement des répercussions négatives sur la vie quotidienne et économique à Paris.
Les embouteillages et l’obstruction des vues, particulièrement sur les terrasses prisées de la ville, aggravent la situation. Cyril Hanouna partage ses observations :
« Chaque personne que je croise me dit qu’elle n’en peut plus. Quelle tristesse ». La période olympique et paralympique, s’étendant jusqu’en septembre, continue de poser des défis.