Inoxtag, populaire youtubeur français aux 8 millions d’abonnés, a récemment subi un cambriolage à son domicile, un incident qui a rapidement capté l’attention médiatique ainsi que l’intérêt politique.
Ce drame personnel s’est transformé en une polémique plus large sur les enjeux de sécurité en France en 2024, illustrant une fois de plus la complexité des interactions entre célébrités et politiques sur les plateformes sociales.
Le cambriolage d’Inoxtag, qui s’est produit à son domicile de Poissy le mercredi 6 novembre, a été marqué par un préjudice estimé à environ 10.000 euros.
L’incident a pris une dimension politique lorsque Jordan Bardella, président du Rassemblement National, a exprimé publiquement son soutien au youtubeur, en déplorant la sécurité nationale qu’il juge défaillante.
« Tout mon soutien à Inoxtag, victime d’un cambriolage comme cela arrive à des milliers de Français chaque année, » a-t-il tweeté, ajoutant une critique à l’égard des militants d’extrême gauche.
Réaction cinglante d’Inoxtag
La réponse d’Inoxtag ne s’est pas fait attendre. Sensible à la récupération politique de son malheur personnel, il a répliqué de manière acerbe :
« Encore de la récupération politique, on en peut plus de toi« , soulignant son exaspération face à l’exploitation de telles situations par des figures politiques.
Il a également exhorté le soutien envers « le vrai peuple français qui en ont vraiment besoin… »
Répétition et précautions
Le cambriolage de cette semaine n’est pas un cas isolé pour Inoxtag. Le vidéaste avait déjà été victime d’un incident similaire six mois auparavant, lors de son voyage pour l’ascension de l’Everest, où des voleurs avaient emporté une grande partie de sa collection de sneakers et de montres.
Déterminé à ne pas laisser l’histoire se répéter, Inoxtag a annoncé son intention de renforcer la sécurité de son domicile.
« Je vais prendre les précautions nécessaires pour que cela ne se reproduise plus. » Cette déclaration traduit une volonté de mettre en place des mesures de surveillance renforcée.
