Le 26 mars a été marqué par les obsèques émouvantes de Frédéric Mitterrand, célébrées en l’église Saint-Thomas-d’Aquin à Paris.
Les proches, amis et nombreuses figures du monde culturel et politique se sont réunis pour rendre un dernier hommage à cet homme de lettres et ancien ministre de la Culture, disparu à 76 ans après une lutte courageuse contre le cancer.
L’événement a rassemblé des personnalités telles que la ministre de la Culture Rachida Dati, ainsi que d’anciens ministres et des figures politiques, témoignant de la richesse de la vie et de la carrière de Frédéric Mitterrand. Son combat contre la maladie, qu’il avait lui-même partagé publiquement, a été un exemple de détermination et d’amour pour la vie, suscitant admiration et respect.
Parmi les invités, Patrick Poivre d’Arvor, figure bien connue du journalisme français, a fait une entrée qui n’est pas passée inaperçue, s’attirant les regards et les commentaires dans l’assemblée. Son arrivée tardive et sa place au premier rang ont soulevé des murmures, rappelant les controverses et les accusations auxquelles il fait face.
Cette présence a, sans doute, ajouté une note de dissonance dans ce moment de recueillement et de souvenir, focalisant une partie de l’attention sur les dynamiques personnelles et publiques qui dépassent le cadre de cette journée de deuil.