À l’approche de l’élection de Miss Univers 2025, l’effervescence gagne les coulisses du concours le plus médiatisé du globe.

Cette année encore, près de 130 jeunes femmes tenteront de décrocher la couronne, tandis que la France place de grands espoirs dans sa représentante, Ève Gilles, déjà auréolée du titre de Miss France 2024.
Pour cette 74ᵉ édition, organisée près de Bangkok, deux candidates âgées de plus de 42 ans — Miss Bonaire et Miss Rwanda — témoignent de l’évolution d’un concours longtemps accusé d’uniformité. La France, elle, comptera sur Ève Gilles pour porter ses couleurs, accompagnée lors des premiers événements par trois autres Françaises des Outre-mer : Ophély Mézino pour la Guadeloupe, Celya Abbatucci pour la Martinique et Nourya Aboutoihi pour Mayotte. Leur présence a marqué les défilés préliminaires, salués par un public international particulièrement attentif.

Quand et où suivre Miss Univers 2025 à la télévision ?
Arrivées en Thaïlande début novembre, les candidates enchaînent les présentations, répétitions et interviews. Le premier passage d’Ève Gilles a d’ailleurs battu des records de vues sur les réseaux sociaux, confirmant son statut de favorite du public français. Mais au-delà de ces séquences très partagées, une seule soirée décidera du nom de la nouvelle reine de beauté : la grande finale. Avec le décalage horaire, la cérémonie sera diffusée en France à 2 heures du matin, dans la nuit de jeudi à vendredi, sur Paris Première. Pour les moins courageux, une rediffusion est prévue le samedi 22 novembre à 14h10, toujours sur la même chaîne.
Une Miss engagée sur un sujet sensible : le harcèlement

À quelques semaines de son départ, Ève Gilles avait confié à plusieurs médias, dont Télé-Loisirs, la cause qu’elle compte défendre à Miss Univers. Elle a choisi de porter haut la lutte contre le harcèlement, un sujet qui l’a profondément marquée durant son année de Miss France. En partenariat avec l’association E-Enfance, elle souhaite sensibiliser le monde entier à l’importance de numéros d’écoute dédiés aux victimes, notamment les plus jeunes. Son objectif : encourager d’autres pays à instaurer des dispositifs similaires pour prévenir le cyberharcèlement et offrir une véritable oreille aux enfants en détresse.










