Angélique Angarni-Filopon a remporté le titre de Miss France 2025 lors d’une soirée mémorable à l’Arena-Futuroscope de Poitiers.
Depuis cette élection, cette ancienne Miss Martinique 2024 voit sa vie transformée, oscillant entre interviews et apparitions médiatiques.
Sa récente intervention sur Sud Radio a cependant soulevé des vagues, notamment autour d’une question épineuse sur la liberté d’expression, qui a laissé le public partagé et a suscité une polémique notable.
Ascension et répercussions médiatiques
Depuis son sacre, Angélique Angarni-Filopon, âgée de 34 ans, vit un véritable tourbillon médiatique. Elle est devenue une figure régulière des plateaux de télévision et des ondes radio, partageant les transformations que son nouveau titre a apportées à sa vie quotidienne.
Son passage chez Sud Radio le 8 janvier était particulièrement attendu, marquant une de ses premières grandes interviews post-couronnement.
Un moment délicat sur les ondes
Le contexte était chargé d’émotion et de gravité, puisque l’interview a eu lieu juste après le dixième anniversaire de l’attentat contre Charlie Hebdo.
Les questions des journalistes Gilles Ganzmann et Valérie Lexpert ont rapidement pris un tournant vers la liberté d’expression.
La question « Êtes-vous Charlie ? », posée par Ganzmann, a semblé prendre Angélique au dépourvu, la laissant hésitante et finalement non-committal avec sa réponse évasive: « Je ne me prononce pas ».
Silence et polémique
L’insistance des journalistes n’a fait qu’accentuer la tension, avec une reformulation directe sur le droit au blasphème en France, question à laquelle la Miss France a répondu par le silence.
Cette réaction a provoqué des critiques mais aussi des soutiens sur les réseaux sociaux, où certains ont vu cette insistance comme un piège tendu par les intervieweurs.
Les débats ont été vifs, illustrant la division des opinions publiques autour de sa réticence à s’exprimer clairement sur des sujets aussi sensibles.
Réactions divisées
Le débat ne s’est pas arrêté à l’antenne; il s’est étendu sur les réseaux sociaux où la réaction d’Angélique a été largement discutée.
Critiquée par certains pour son manque de position ferme, elle a été défendue par d’autres qui ont critiqué la nature « piégée » des questions posées.
Ce moment d’interview a clairement montré comment un titre de beauté peut amener à des défis inattendus dans l’arène publique, surtout lorsqu’il est question de prendre position sur des enjeux de société cruciaux.