Figure incontournable du petit écran depuis plus de quarante ans, Sophie Davant n’a jamais cessé de fasciner le public.

Mais derrière la professionnelle aguerrie se cache aussi une femme capable de douter, de rire d’elle-même… et d’assumer une mésaventure esthétique dont elle parle aujourd’hui en toute transparence. Invitée sur RTL, elle a raconté un souvenir qu’elle n’est pas prête d’oublier.
Depuis 1980, Sophie Davant fait partie des visages les plus familiers de la télévision française, débutant par la météo avant de s’imposer à la tête de programmes devenus cultes : Fort Boyard, C’est au programme, Affaire Conclue.
Après plus de trente ans passés au sein de France Télévisions, elle a fini par quitter le service public, une décision qu’elle admet regretter parfois.
Mais il y a une autre décision, bien plus personnelle, qu’elle regrette… et qui concerne son tout premier essai en médecine esthétique.
Une proposition inattendue dans une clinique

Invitée de On refait la télé ce 15 novembre 2025, l’animatrice s’est confiée avec humour sur sa première expérience esthétique. Ce jour-là, elle accompagne simplement un ami dans une clinique, sans intention particulière.
Elle raconte : « Je n’avais pas du tout prévu de faire ça ». Mais une fois sur place, on lui propose de tester des injections aux lèvres. Surprise, hésitante, mais un peu joueuse, elle accepte :
« Comme je suis un peu folle dingue, je me dis pourquoi pas », se souvient-elle.
Une injection ratée… et un direct à assumer

Très vite, elle réalise que le médecin n’est probablement pas expert en la matière.
Résultat : « Je suis ressortie avec une bouche de canard ».
Un choc… d’autant qu’elle était alors en direct tous les matins dans C’est au programme.
Elle se rappelle la réaction de son compagnon, William Leymergie :
« Quand il m’a vue arriver le matin, je vous raconte pas… »
Catastrophée mais lucide, elle choisit d’en rire plutôt que de dramatiser : « Je riais bêtement… » Un réflexe pour alléger la gêne, mais aussi pour ne pas se cacher.
Pas contre l’esthétique, mais contre les excès
Malgré cette mauvaise expérience, Sophie Davant ne condamne pas la chirurgie esthétique.
Elle admet y avoir eu recours pour de petits gestes nécessaires et n’en fait pas un tabou.
« Je ne suis pas du tout hostile à ça », affirme-t-elle.
Mais elle déplore les dérives visibles chez certains :
« Ce qui me dérange, c’est quand les visages deviennent méconnaissables. »
Pour elle, l’objectif doit être simple : paraître reposé, harmonieux, sans se transformer.










