La famille royale de Norvège traverse une période tumultueuse. Au cœur d’une affaire judiciaire grave, Marius Borg Høiby, fils de Mette-Marit et beau-fils du prince héritier Haakon, fait face à des accusations de vi*lences et de vi*ls.
Cette situation sans précédent ébranle profondément la Couronne, confrontée à un défi de taille quant à sa gestion de la crise et à son image publique.
Marius Borg Høiby, à l’âge de 27 ans, est devenu le sujet d’une controverse majeure après avoir été arrêté à deux reprises cette année, la dernière fois en novembre, en lien avec des accusations de vi*ls portées par d’anciennes compagnes.
Suite à une courte période d’incarcération, il est libéré, mais les rumeurs l’annoncent quittant prématurément une cure de désintoxication.
Son avocat a rapidement contredit ces allégations, affirmant que Marius poursuivait activement son traitement. « Il est déterminé à continuer son traitement, même s’il est intense, » précise-t-il.
La Famille Royale Face à l’Adversité
La réaction de la famille royale face à ces événements a été mesurée, se concentrant principalement sur le respect de la procédure judiciaire. Le prince héritier Haakon a expressément demandé que le travail de la justice soit respecté.
Mette-Marit, quant à elle, a rompu le silence dans un documentaire diffusé durant les fêtes, révélant la lourdeur de la situation pour la famille. « Ça a été dur. Il n’y a rien de plus à dire. Vraiment dur pour nous et pour tout le monde, » a-t-elle confié, ajoutant que la famille bénéficiait d’un soutien professionnel continu du système de santé.
Une Affaire de Famille et de Santé Publique
Les déclarations de Mette-Marit mettent en lumière non seulement les défis personnels rencontrés par son fils, mais aussi l’engagement de la famille royale à traiter ces problèmes sérieusement.
Elle a souligné que leur démarche de soins avait commencé bien avant l’éclatement de l’affaire, signe d’un engagement familial face aux troubles mentaux de Marius.
Haakon, de son côté, a fait écho à cette sensibilité en rappelant le besoin de paix exprimé par les victimes présumées et en soulignant le respect dû à l’histoire personnelle de son fils par alliance.