Le 3 juillet 2025, un moment à la fois burlesque et inattendu s’est produit dans l’émission « Les Grosses Têtes » sur RTL.
Autour de Laurent Ruquier, les chroniqueurs ont été invités à revisiter un cri culte du cinéma, offrant au public un instant de radio aussi absurde qu’amusant. Lors de cette émission estivale, Laurent Ruquier a animé un petit jeu autour d’un personnage peu connu : Thomas Leech Lloyd. L’animateur interroge ses chroniqueurs sur une invention sonore étonnante que l’homme aurait enregistrée pour la première fois. Après quelques tentatives approximatives, c’est Arielle Dombasle qui devine juste : il s’agissait du célèbre cri de Tarzan. Une réponse qui a immédiatement éveillé la curiosité et l’envie de tester cette onomatopée légendaire.
L’origine étonnante du cri de Tarzan
Ruquier, fidèle à son rôle de conteur de curiosités, détaille l’anecdote : le cri de Tarzan ne serait pas une simple vocalise humaine, mais un savant montage sonore mêlant la voix de Lloyd, celle d’un soprano, une note de violon, et même le cri d’une hyène. Ce patchwork sonore est devenu une signature iconique du personnage de la jungle, diffusé à l’infini au fil des décennies cinématographiques.
L’instant gênant (et drôle) d’Arielle Dombasle
Laurent Ruquier, taquin, propose alors à Arielle Dombasle de se lancer dans une imitation. Celle-ci ne se fait pas prier et pousse un hurlement strident, aussi aigu qu’improbable, déclenchant l’hilarité générale. Marcela Iacub, pince-sans-rire, lâche aussitôt : « Ça c’est Chita, pas Tarzan ! », faisant allusion au singe compagnon du héros. Le ton est donné : le moment est à la légèreté, même si la performance vocale d’Arielle laisse le plateau quelque peu interloqué.
Une figure fantasque et assumée de la radio
Ce n’est pas la première fois qu’Arielle Dombasle détonne dans l’émission. Connue pour ses interventions loufoques et sa spontanéité, l’actrice assume pleinement son rôle de grain de folie parmi les chroniqueurs. Elle s’épanouit dans ce format libre où le rire et l’improvisation règnent. Dans une interview accordée à Ouest-France en octobre 2024, elle confiait : « À la radio, c’est tout un binz ! C’est ma psychanalyse. »
Le rire comme antidote
Derrière ses envolées vocales, Arielle Dombasle révèle un rapport profond à l’humour. Pour elle, l’auto-dérision et le jeu sont essentiels à l’équilibre personnel, en particulier dans une époque souvent morose. « Je fais ça pour rire », avait-elle déclaré à propos de sa participation aux « Grosses Têtes », ajoutant que le rire est, selon elle, vital. Une philosophie qu’elle applique avec une liberté rare, quitte à créer parfois un léger malaise sur le plateau… pour mieux en rire ensuite.