Leonor de Borbón y Ortiz, destinée à régner sur l’Espagne, s’apprête à relever un défi historique.
Face à l’héritage compliqué de son grand-père, le roi Juan Carlos 1er, et les efforts de son père, le roi Felipe VI, pour rétablir l’image de la monarchie, Leonor pourrait bien redéfinir le rôle de la royauté dans un monde moderne.
Leonor de Borbón y Ortiz est au cœur d’une transition royale cruciale. Sa famille a subi une perte notable de popularité suite aux scandales de Juan Carlos 1er.
Son père, le roi Felipe VI, s’est attelé à la tâche ardue de reconquérir le cœur des Espagnols, un effort qui ne sera pas vain si Leonor parvient à continuer sur cette lancée.
En tant que future première reine d’Espagne depuis Isabelle II, elle incarne un espoir et un renouveau pour la monarchie espagnole, avec le défi de connecter encore plus avec les citoyens.
Le 12 juillet et le 6 août ont été des journées marquantes pour Leonor, révélant son ascension vers une plus grande autonomie.
Son premier voyage en solo à l’étranger et sa conduite visible dans les rues de Palma de Majorque, aux côtés de sa famille, montrent une jeune femme qui commence à prendre les rênes de son image publique, crucial pour sa future position.
Ces apparitions ne sont pas seulement des étapes de son développement personnel mais aussi des moments stratégiques pour façonner la perception publique de la princesse en tant que leader accessible et relatable.
L’émancipation de Leonor semble se dessiner au fur et à mesure qu’elle s’engage dans la vie publique.
Les indices de sa personnalité réelle commencent à émerger, comme son choix de maquillage audacieux lors de sa remise de diplôme et son iPhone endommagé aperçu lors des Jeux de Paris.