Léa Salamé s’est confiée sans détour sur son quotidien d’animatrice, entre pression médiatique et petits rituels avant de prendre l’antenne. La journaliste vedette, désormais aux commandes du JT de 20h et toujours pilier de « Quelle Époque », continue d’attiser curiosité et débats.
À la rentrée, Léa Salamé a frappé fort en succédant à Anne-Sophie Lapix au JT de 20h, une consécration pour celle qui a déjà marqué l’univers télé et radio. Parallèlement à son émission du samedi soir, elle s’impose comme l’une des figures incontournables de l’audiovisuel français. Son couple avec Raphaël Glucksmann, figure politique en vue, alimente également les spéculations, certains imaginant déjà un destin de Première dame si son compagnon se lançait avec succès dans la présidentielle de 2027.
Des souvenirs de polémique et une mise au point
Léa Salamé a déjà connu le feu des critiques, notamment après une interview d’Artus en mai 2024. Sa plaisanterie maladroite sur l’alcool de l’humoriste avait déclenché un tollé. La journaliste avait alors assuré qu’il s’agissait d’une blague mal interprétée, affirmant qu’Artus ne l’avait pas mal prise. « En aucun cas une apologie de l’alcool », avait-elle précisé pour calmer la tempête.
Un rituel assumé pour gérer la pression
Dans un entretien rapporté par Gala, elle a révélé son rituel insolite avant d’entrer sur le plateau : un geste porte-bonheur avec son complice Philippe Caverivière et… une lichette de vodka pour faire retomber la tension. « C’est tellement naturel, c’est comme le maquillage ! Je ne devrais pas dire ça, ce n’est pas bien. On rappelle que l’alcool n’est pas bon pour la santé, mais moi, ça me détend », a-t-elle reconnu, consciente que cet aveu pouvait faire réagir.
Une journaliste sous les projecteurs
Cette confession, en apparence légère, relance le débat sur l’image publique des personnalités médiatiques et sur la réception de l’humour dans une époque plus sensible aux propos tenus à l’antenne. Léa Salamé, loin de se laisser ébranler, poursuit son chemin, fidèle à son franc-parler et à son style direct qui font sa popularité. Elle incarne une génération de journalistes capables d’assumer leurs erreurs, de jouer avec l’autodérision et de continuer à séduire un public exigeant.
La séquence rappelle surtout la pression constante des plateaux en direct. Entre le JT de 20h et les débats animés de « Quelle Époque », la quadragénaire ne cache pas le stress qui accompagne ses responsabilités. Son franc-parler, mêlé à une pointe d’humour, contribue autant à son succès qu’aux controverses qui jalonnent sa carrière. Mais à travers ces confidences, elle confirme qu’elle compte bien rester une figure centrale du paysage audiovisuel français.