Secoué par un nouveau scandale, le prince Andrew vient de perdre ses derniers privilèges royaux.

Une décision historique prise par Charles III, sous la pression insistante du prince William, selon plusieurs experts. Cette mise à l’écart pourrait n’être que la première étape d’un bouleversement plus large au sein de la famille royale.
Dans un communiqué publié le jeudi 30 novembre, Buckingham Palace a annoncé qu’Andrew renonçait à ses titres, inaugurant une rupture sans précédent depuis des décennies.

Le texte précise désormais : « Le prince Andrew sera connu sous le nom d’Andrew Mountbatten Windsor. »
L’ex-duc d’York doit également quitter Royal Lodge, sa résidence située au cœur du domaine de Windsor.
Un avis formel lui a été délivré pour renoncer à son bail, et il devra emménager dans un logement privé.
Un camouflet symbolique et logistique, acté après l’ouverture d’une procédure officielle.
L’ombre de l’affaire Epstein, et un William déterminé

Cette sanction intervient alors que de nouvelles révélations liées au dossier Epstein ravivent la polémique autour du prince Andrew et de ses liens persistants avec le milliardaire.
Selon plusieurs observateurs, le prince William aurait pesé de tout son poids pour pousser son père à trancher.
Le futur roi souhaite « nettoyer » l’institution et couper les branches les plus fragilisées.
Si Beatrice et Eugenie garderaient la faveur de la princesse de Galles, d’autres membres pourraient se sentir menacés, à commencer par Harry et ses enfants.
Malgré un geste d’apaisement entre Charles III et son fils cadet, rien ne bouge entre William et Harry.
Les deux frères ne s’adressent plus la parole.
Lors du troisième anniversaire de la mort d’Elizabeth II, en septembre, chacun s’est recueilli séparément, malgré la venue d’Harry depuis la Californie.
Une distance qui n’est pas sans conséquences :
Selon Vanity Fair, William pourrait demander à Harry, Archie et Lilibet de renoncer à leurs titres royaux si aucune réconciliation n’intervient.










