Le prince Harry, reconnu pour son engagement envers la conservation de la nature, pourrait devoir prendre une décision difficile concernant son rôle avec African Parks, une ONG dédiée à la gestion des parcs nationaux en Afrique.
Depuis son adhésion à l’organisation en juillet 2016, Harry s’est investi activement, atteignant même la présidence du conseil d’administration. Cependant, des révélations troublantes ont émergé, jetant une ombre sur l’association.
Selon des informations du Sun, parues ce dimanche 21 avril, African Parks est accusée de pratiques extrêmement graves, incluant la torture de braconniers présumés et des abus envers des membres de tribus locales. Ces allégations sont exposées dans le livre d’Olivier van Beemen, Entrepreneurs in the Wild, qui documente des cas de maltraitances survenus ces trois dernières années.
Face à ces accusations, des voix s’élèvent pour conseiller à Harry de se distancer de l’ONG. Richard Fitzwilliams, commentateur royal, s’est exprimé sur la situation : « Il est crucial que le prince Harry se retire ou se mette en retrait du conseil d’administration pendant la durée des enquêtes. » Il a ajouté que Harry devrait agir rapidement, étant donné son profond engagement pour la cause de la conservation.
En parallèle, le duc de Sussex fait face à des défis juridiques sur d’autres fronts. Il a récemment été impliqué dans une bataille judiciaire contre le ministère de l’Intérieur britannique concernant la suppression de sa protection rapprochée suite à son déménagement aux États-Unis en 2020. Le 15 avril, il a subi un revers lorsque la justice a refusé sa demande de contestation de cette décision, bien qu’il puisse encore faire appel devant la Cour d’appel.