Ce dimanche 5 mai, Soraya, la partenaire de Kendji Girac, s’est ouverte avec sincérité dans les pages du Parisien. Cette entrevue lui a offert l’opportunité de revenir sur les débuts de son histoire d’amour avec le chanteur.
Dans la nuit du 21 au 22 avril, Kendji Girac a été gravement blessé par balle sur une aire de communauté de gens du voyage à Biscarrosse, dans les Landes.
Cet incident tragique a conduit le chanteur à être hospitalisé et à subir une intervention chirurgicale au CHU de Bordeaux. Souhaitant « rétablir certaines vérités » concernant ce drame, Soraya, la compagne de Kendji Girac, a accordé une interview au Parisien ce dimanche 5 mai.
Confrontée à certaines rumeurs insinuant qu’elle serait victime de violences psychologiques de la part de son compagnon, Soraya a clarifié la situation en évoquant tout d’abord leur rencontre. « C’était en 2014, dans un restaurant en Suisse.
Ce fut un véritable coup de foudre. Son regard m’a profondément touchée. D’emblée, je l’ai perçu comme quelqu’un de solaire, gentil, doux. Mes premières impressions se sont avérées justes », se remémore-t-elle.
Elle ajoute ensuite : « Nos débuts ont été simples, j’étais encore étudiante en Suisse. Lui, était constamment en tournée. Nous nous retrouvions dès que possible, vivant des moments forts et merveilleux.
Parfois, il venait à Genève, parfois, c’était moi qui le rejoignais lorsque cela était possible. Depuis, nous ne nous sommes jamais quittés. »
Après plus de 10 ans de relation, Soraya continue de dépeindre son époux comme un homme « doux », « gentil » et « romantique ». « Il est un rayon de soleil. Un père exemplaire d’une tendresse infinie, très joueur. En public, il est réservé.
Un homme rempli d’affection. Ce qui est arrivé sera un tournant, je le sais, il reviendra plus fort », poursuit-elle.
Au cours de cette entrevue, Soraya a également réfuté une autre rumeur selon laquelle Kendji Girac se serait infligé lui-même sa blessure, laissant entendre qu’il était sur le point de se suicider.
« Il n’a jamais tenté de me manipuler en brandissant la menace du suicide, soyons clairs. Cela n’a jamais eu lieu. Je n’ai jamais été confrontée à la moindre violence de sa part. Je suis catégorique. Il en est incapable », explique-t-elle, avant de revenir sur les circonstances de cet accident.
« Comme je l’ai expliqué au procureur et à la police, au moment des faits, je n’étais pas dans la même pièce que Kendji, j’étais avec ma fille. J’ai simplement entendu le bruit des placards, puis le coup de feu.
Je me suis précipitée et, en le voyant blessé, ce fut un choc », ajoute-t-elle, concluant : « Depuis quelques mois, il traversait une période difficile, nous en discutions.
Je sais qu’il surmontera cela et je serai là pour lui. Il est bouleversé d’avoir causé autant de souffrance à lui-même. »