Dans le paysage médiatique contemporain, peu de documentaires parviennent à capturer l’essence véritable de la célébrité avec autant de sincérité que « Je m’appelle Charlotte », dédié à la chanteuse Vitaa.
Diffusé récemment par TMC, ce documentaire plonge dans l’univers de l’artiste, de ses humbles débuts aux côtés de Diam’s à sa récente collaboration avec Slimane, marquée par des controverses notables.
Vitaa, née Charlotte Gonin, s’est établie comme une figure incontournable de la scène musicale française.
Depuis son explosion en 2006 avec « Confessions nocturnes », elle n’a cessé de gravir les échelons, enchaînant les succès.
Cependant, derrière ces triomphes, elle lutte contre des adversaires plus intimes : ses insécurités et son image corporelle.
Le combat de Vitaa avec son image
Dans une rare confession, Vitaa partage les difficultés liées à son apparence physique. « Je ne me suis jamais aimée tout court.
J’ai été beaucoup plus ronde dans ma vie, » révèle-t-elle, soulignant comment son poids a fluctué de 15 à 20 kilos par rapport à son poids actuel.
Ces changements ont profondément affecté son estime de soi, avec un impact durable sur son bien-être mental.
Pression médiatique et critique publique
La chanteuse dénonce également la pression incessante exercée par les médias et l’industrie du divertissement.
« Quand on n’est pas en permanence dans la lumière et sous les projecteurs, on ne se rend pas compte de ce que c’est d’essuyer les critiques, les commentaires, les insultes… »
Ces expériences ont exacerbé ses complexes et l’ont amenée à lutter non seulement contre ses propres démons intérieurs, mais aussi contre les jugements extérieurs.