Véronique Genest, autrefois étoile de TF1 pour son rôle emblématique du commissaire Julie Lescaut, a vu sa vie prendre une tournure dramatique ces dernières années, non seulement à cause de ses opinions tranchées mais aussi en raison de défis personnels significatifs liés à sa famille et à ses finances.
Après 22 ans de succès télévisuel, Véronique Genest s’est retrouvée confrontée à une réalité bien moins scénarisée.
Éloignée des projecteurs, elle doit gérer une retraite télévisuelle qui lui impose de lourdes charges financières.
Avec une pension de 3500 € par mois, l’actrice peine à couvrir les frais d’Ehpad de sa mère, qui s’élevaient entre 5000 et 6000 € mensuels, jusqu’à son décès il y a deux ans.
Une perte rapide et douloureuse
La disparition de sa mère, Colette, a été un choc brutal pour Genest. Annoncée via les réseaux sociaux en février 2022, cette perte a laissé l’actrice profondément affectée.
Sa mère, décrite comme une femme qui « adorait la vie, la bonne chère, le théâtre, la musique… », est décédée rapidement, en seulement dix jours, dans des circonstances que Genest attribue à des négligences au sein de l’Ehpad.
Sur le plateau de l’émission « La Piscine » de Jordan de Luxe, Véronique Genest a exprimé son indignation face aux conditions de soins de sa mère, évoquant une plaie mal gérée et des pansements souvent laissés mouillés.
Malgré sa colère, elle a choisi de ne pas poursuivre l’établissement en justice, qualifiant une telle action de lutte inefficace contre des « moulins à vent », reflétant son sentiment d’impuissance face au système.
