Herbert Léonard, dont la voix a bercé des millions de cœurs avec des chansons comme « Pour le plaisir » ou « Quand tu m’aimes », s’est éteint le 2 mars à l’âge de 80 ans.
Après une lutte contre de multiples problèmes de santé, dont une embolie pulmonaire sévère en 2017, il a finalement succombé, laissant l’industrie musicale en deuil et une vague d’hommages derrière lui. Toutefois, en dehors des projecteurs, une personne en particulier ressent profondément cette perte : Cléo, sa compagne de toujours, qui a choisi de vivre loin des feux de la rampe.
Cléo, l’ombre fidèle d’une star
Cléo a partagé sa vie avec Herbert Léonard sans jamais chercher à attirer l’attention sur elle. Dans une récente interview pour Paris Match, elle explique cette discrétion par une stratégie marketing claire dès le début de leur relation : être moins visible pour maintenir l’attrait du chanteur auprès de son public féminin. « Je n’ai jamais assisté à ses concerts ni participé à ses événements publics, par choix, pour ne pas diminuer son impact sur ses admiratrices, » confie-t-elle, reconnaissant ainsi les sacrifices faits pour la carrière de son époux.
Une vie conjugale entre acceptation et réalisme
Outre sa discrétion, Cléo a également toléré les infidélités d’Herbert, une réalité qu’elle a acceptée avec pragmatisme, sans pour autant perdre son esprit critique. « Je n’ai jamais eu de respect pour les aventures éphémères d’Herbert, mais je n’ai pas combattu ses choix, » admet-elle, démontrant une approche à la fois féministe et réaliste de sa situation conjugale. Sa capacité à ignorer certaines liaisons et à chercher réconfort ailleurs montre une dynamique conjugale complexe et pleinement assumée.
Les limites de la tolérance
Cependant, Cléo admet que certaines liaisons plus sérieuses ont été difficiles à accepter, car elles menaçaient la stabilité de leur union et de leur famille. Cette nuance révèle les limites de son acceptation et met en lumière l’équilibre fragile auquel elle devait parfois se confronter.