À chaque approche de décembre, l’envie d’habiller son intérieur de lumières et de couleurs revient comme un réflexe chaleureux.

Pourtant, certaines traditions invitent à la patience, et même certains avertissements ésotériques suggèrent qu’une installation trop précoce pourrait attirer de mauvaises ondes. Entre budget serré, coutumes anciennes et recommandations astrologiques, 2025 ne déroge pas à cette règle.
En France, la fièvre de Noël séduit chaque année toutes les générations, mais elle s’accompagne d’une réalité économique incontournable. Selon une étude du CSA Research pour Cofidis, les ménages prévoient de dépenser en 2025 environ 417 euros pour les fêtes, dont seulement 28 euros pour embellir leur intérieur. Ce chiffre rappelle que, malgré l’attachement aux rituels, les familles restent prudentes face à la hausse du coût de la vie, tout en se tournant de plus en plus vers le fait maison pour sauvegarder la magie de Noël sans exploser leur budget.
La mise en garde d’une voyante face à l’impatience
Les professionnels du secteur anticipent largement les fêtes : catalogues de jouets, vitrines illuminées et publicités envahissent déjà le quotidien. Pourtant, la voyante Inbaal Honigman appelle à la retenue. Selon elle, avancer trop tôt les préparatifs reviendrait à braver des influences astrologiques défavorables, notamment la rétrogradation de Mercure, susceptible d’apporter confusion et tensions. Elle recommande ainsi d’attendre la fin de ce cycle, fixée au 29 novembre 2025, avant d’installer la moindre guirlande.
Une tradition ancienne bien différente de nos habitudes actuelles

Dans son analyse, la médium rappelle que les coutumes d’antan étaient bien plus strictes. Les 12 jours de Noël commençaient autrefois le 25 décembre, et les décorations n’apparaissaient qu’à cette date précise. En conséquence, elles étaient retirées au 5 janvier, qui marquait la fin symbolique de la période festive. Aujourd’hui encore, certains considèrent qu’ôter les décorations trop tard porterait malheur, même si la société moderne a largement avancé les festivités, parfois dès la fin novembre avec l’ouverture des marchés de Noël.
Le consensus moderne : début décembre pour ne pas se tromper
Si l’on en croit les pratiques contemporaines, les familles françaises s’accordent désormais sur le début du mois de décembre pour lancer les hostilités lumineuses. Le premier dimanche de l’Avent reste une référence traditionnelle, tandis que le 1ᵉʳ décembre s’impose dans de nombreux foyers comme date symbolique. Dans tous les cas, éviter de prolonger la décoration après le jour de l’An est fortement conseillé pour respecter la tradition… et préserver l’harmonie supposée de la nouvelle année.










