Jamel Debbouze se fait de plus en plus discret dans les médias, mais il a récemment partagé ses réflexions lors d’une interview avec Léa Salamé sur France Inter, où il venait parler de son dernier film « Mercato » réalisé par Tristan Séguéla, prévu pour le 19 février au cinéma.
Il y incarne Driss, un agent de joueurs de football, explorant les aspects les plus sombres du football professionnel, souvent obscurci par l’argent.
Entre Cinéma et Réalités Sociales
Au cœur de l’interview, Jamel a abordé des sujets variés avec une franchise caractéristique. Sur Elon Musk, ses mots étaient tranchants : « Il me vénère ! » a-t-il exclamé. « L’aspect technique, comme envoyer des fusées qui reviennent se poser, je trouve ça incroyable. Mais tout le reste, pour moi, c’est pitoyable, c’est petit. » Ces propos audacieux reflètent une critique acerbe de l’attitude et des actions du milliardaire.
Points de Vue sur le Quotidien et la Société
Jamel a également commenté un incident récent, où Elon Musk a été vu au café de la Paix à Paris, un choix qui, selon lui, ne correspondait pas à l’image que devrait renvoyer une personnalité de son envergure : « Il y avait 62 bagnoles. C’est ça pour moi le gâchis d’Elon Musk : avoir un tel cerveau et s’en servir pour fracturer, pour diviser. »
Un Père Fier et Préoccupé
Concernant sa vie familiale, l’humoriste a évoqué avec tendresse son fils Léon, âgé de 16 ans, soulignant les défis de la paternité avec humour : « Tous les 15 jours, je suis obligé de lui dire : ‘Eh ! Je te rappelle que c’est moi qui suis ton père’ ». Son fils aspire à une carrière de footballeur professionnel, un chemin que Jamel soutient malgré ses réticences : « Il faut être tellement fort psychologiquement… C’est tellement aléatoire qu’on n’a pas envie de ça pour ses enfants. Mais je le suivrai corps et âme jusqu’au bout, là où il a envie d’aller. » Jamel montre ainsi un soutien indéfectible pour les ambitions de son fils, tout en exprimant ses inquiétudes de parent.