Ce samedi 14 septembre, à l’occasion d’une interview accordée au « Figaro », Thomas Dutronc a partagé des nouvelles de son père, Jacques Dutronc, tout en abordant délicatement la question de l’héritage laissé par sa mère, Françoise Hardy, décédée en juin dernier.
Au cœur de la promotion de son nouvel album « Il n’est jamais trop tard », Thomas s’ouvre sur les responsabilités et les émotions entourant la gestion de l’héritage musical et matériel de sa mère, une icône de la chanson française.
Après le décès de Françoise Hardy le 11 juin, elle a laissé derrière elle un impressionnant catalogue de chansons célèbres et une fortune constituée de biens précieux à Paris et en Corse.
Thomas Dutronc, son unique héritier, se trouve face à la tâche monumentale de gérer cet héritage, tout en honorant la mémoire artistique de sa mère.
Pendant cette période de deuil et de transition, il exprime le désir de mettre en valeur l’héritage musical de sa mère plutôt que de le considérer comme une opportunité commerciale.
Dans sa quête pour préserver et célébrer l’œuvre de sa mère, Thomas envisage de collaborer avec Étienne Daho, un artiste qui connaît profondément l’univers musical de Françoise Hardy.
Cette collaboration vise à rendre hommage à son héritage d’une manière respectueuse et innovante. Bien que les détails précis de ce projet restent à définir, l’engagement de Thomas à honorer sa mère est clair. Il met en lumière son approche réfléchie et son respect profond pour l’impact de Françoise Hardy sur la musique française.