Brigitte Bardot, l’illustre actrice et ardente militante pour les droits des animaux, a récemment été confrontée à une menace inattendue contre son havre de paix à Saint-Tropez, La Madrague, où elle réside depuis 1958.
Les intempéries sévères qui ont frappé le sud de la France ont failli la contraindre à abandonner ce lieu qu’elle chérit tant.
La région a été particulièrement touchée par des pluies diluviennes, transformant les charmantes ruelles de Saint-Tropez en véritables rivières de boue.
Un Déluge Sans Précédent
La tranquillité habituelle de La Madrague a été brusquement perturbée par des averses torrentielles, décrites comme des « tombes d’eau » par les médias locaux, qui ont déversé l’équivalent de six mois de précipitations parisiennes en juste deux jours.
Cette situation exceptionnelle a provoqué une nuit de panique parmi les résidents, y compris Bardot elle-même, qui n’avait jamais été témoin d’une telle furie de la nature depuis qu’elle avait fait de cette maison son domicile.
La Menace sur le Refuge de Bardot
La proximité de la maison avec la Méditerranée, autrefois un charme, est devenue une source de vulnérabilité.
L’eau, poussée par les pluies incessantes, a envahi le jardin de Bardot, submergeant les allées, noyant les fleurs et laissant derrière elle une couche de boue sombre.
L’actrice, récemment octogénaire, a exprimé sa consternation face à cet assaut de la nature, ressentant comme si la mer même tentait d’envahir sa terre.
Préoccupations pour les Animaux et Efforts de Récupération
La préoccupation de Bardot pour les animaux qu’elle a recueillis a également été exacerbée par l’inondation. Tout comme sa maison, l’ensemble de la ville a dû mobiliser rapidement ses ressources pour atténuer les dégâts.
Les efforts de nettoyage ont commencé par la vieille ville, pour permettre une réouverture rapide des commerces, avant de s’étendre aux autres quartiers affectés.
Un Engagement pour l’Éternité
Malgré les défis, Bardot reste résolue à ne jamais quitter La Madrague. Elle a même planifié son repos éternel sur cette propriété, loin des regards indiscrets, dans un lieu spécialement approuvé par les autorités.
Elle envisage de reposer près des tombes de son petit cimetière animal, préférant la solitude de son domaine à la quiétude perturbée du cimetière communal.