Le Royaume-Uni fait face à une nouvelle préoccupante : le roi Charles III est atteint d’un cancer. Cette annonce officielle, faite par le palais de Buckingham le lundi 5 février, a immédiatement suscité une vague d’inquiétude à travers le pays.
La maladie a été diagnostiquée à la suite d’une intervention médicale que le souverain avait subie mi-janvier à la London Clinic, où il était traité pour une hypertrophie de la prostate. Initialement prévue pour être de courte durée, son hospitalisation avait été prolongée, éveillant des soupçons sur son état de santé.
Le communiqué diffusé par le palais indique que, bien que l’hospitalisation initiale concernait la prostate, les tests réalisés ont révélé une autre affection : « Lors de la récente hospitalisation du roi pour une hypertrophie bénigne de la prostate, un problème distinct a été relevé. Des tests diagnostiques ultérieurs ont permis d’identifier une forme de cancer », précise le texte.
En réponse à cette découverte, Charles III a commencé un traitement spécifique, sous les conseils de son équipe médicale, qui lui a recommandé de limiter ses engagements publics pour se concentrer sur sa santé.
Toutefois, le Palais de Buckingham a choisi de ne pas divulguer la nature exacte du cancer dont souffre le roi, respectant ainsi son souhait de discrétion sur ce sujet délicat. Malgré cette épreuve, Charles III reste engagé dans ses fonctions royales et continuera de gérer les affaires de l’État et ses obligations officielles, bien qu’à un rythme adapté à sa condition.