La nouvelle a ébranlé le Royaume-Uni : le roi Charles III est atteint d’un cancer, une révélation faite par le palais de Buckingham le lundi 5 février.
L’annonce survient après une opération de la prostate subie par le souverain à la London Clinic, où un diagnostic inattendu a été posé. Selon le communiqué officiel, une « préoccupation » supplémentaire a été détectée durant l’intervention, menant à l’identification d’une forme de cancer.
Malgré la nécessité de suivre un traitement régulier, le roi, âgé de 75 ans, maintiendra ses engagements concernant les affaires de l’État, bien qu’il doive limiter ses activités publiques. Cette annonce intervient dans un contexte où la santé d’autres membres éminents de la famille royale préoccupe également, notamment celle de la princesse de Galles, Kate Middleton, et de Sarah Ferguson, toutes deux confrontées à des problèmes de santé.
L’attention se porte désormais sur la réaction de la famille royale, en particulier celle du prince Harry, qui réside aux États-Unis depuis plus de trois ans. Informé par son père du diagnostic, Harry a décidé de revenir au Royaume-Uni pour être à ses côtés, marquant ainsi un moment potentiellement significatif pour les relations familiales, souvent décrites comme tendues depuis son départ.
Selon des sources médiatiques, dont la BBC, le duc de Sussex quitterait la Californie pour soutenir son père, suscitant espoir et inquiétude quant à l’impact de cette visite sur la dynamique familiale. Les commentaires de l’experte royale Sarah Hewson sur Talk TV soulignent la gravité perçue de la situation, notant l’importance du geste de Harry de visiter son père malgré les récentes distances prises avec la famille royale.
La présence ou non de Meghan Markle et de leurs enfants lors de ce voyage reste incertaine, ajoutant un élément d’attente à cette période déjà chargée d’émotion pour la monarchie britannique.
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