Figure emblématique de la principauté, Charlène de Monaco fascine autant par son parcours que par sa discrétion. Ancienne sportive de haut niveau devenue princesse, elle conjugue engagements humanitaires, responsabilités officielles et épreuves personnelles.

Derrière l’image institutionnelle, se dessine le portrait d’une femme marquée par des drames intimes et animée par un profond sens du devoir. Avant d’intégrer la famille princière, Charlène de Monaco s’est illustrée comme nageuse de haut niveau. Originaire d’Afrique du Sud, elle a participé aux Jeux olympiques et construit une carrière sportive qui a forgé son caractère. Ce parcours atypique a profondément marqué son identité, bien avant sa rencontre avec Albert II, qu’elle épouse en juillet 2011. Depuis, elle évolue dans un univers institutionnel exigeant, tout en conservant une certaine réserve sur sa vie privée.
Une princesse engagée entre visibilité et discrétion
Une fois devenue princesse, Charlène de Monaco a trouvé un équilibre subtil entre obligations protocolaires et engagement personnel. Elle s’implique activement dans des causes humanitaires, tout en préservant une distance avec l’exposition médiatique excessive. Cette posture singulière nourrit à la fois l’admiration et la curiosité du public, attentif à chacun de ses gestes.
La sécurité aquatique, un combat personnel

Parmi les engagements qui lui tiennent le plus à cœur figure la prévention des noyades. La princesse a fondé la Fondation Princesse Charlène de Monaco, dédiée à la sécurité aquatique et à l’apprentissage de la natation, notamment chez les jeunes enfants. Cet engagement trouve sa source dans son histoire personnelle : élevée dans un environnement où l’eau occupait une place centrale, elle a été confrontée très tôt à ses dangers, notamment avec la disparition tragique de son cousin Richard, noyé à l’âge de cinq ans.
L’enfance au centre de ses priorités humanitaires
Depuis son entrée officielle au sein de la famille princière, Charlène de Monaco utilise sa notoriété pour mettre en lumière des problématiques sociétales souvent sous-estimées. La protection des enfants reste au cœur de ses actions, en particulier à travers des initiatives éducatives mêlant sport, prévention et sensibilisation. Pour elle, apprendre à nager est bien plus qu’un loisir : c’est un outil essentiel pour sauver des vies.
Des actions élargies à la sécurité routière

En 2025, la fondation qu’elle préside a élargi son champ d’action en lançant le Road Safety Day. Cet événement, associant sport et prévention routière, visait à sensibiliser les familles aux comportements responsables, notamment chez les plus jeunes. Une démarche saluée par la presse régionale, dont Nice-Matin, qui souligne la volonté de la princesse d’agir concrètement sur le terrain.
Un drame personnel survenu en pleine fragilité
Alors qu’elle traversait une période délicate, marquée par des soucis de santé et un éloignement prolongé de la principauté pour recevoir des soins, Charlène de Monaco a été frappée par un drame intime. Le 26 octobre 2021, elle annonce la mort brutale de son petit chien, renversé par une voiture. Une disparition qu’elle partage avec émotion sur les réseaux sociaux, évoquant un compagnon qu’elle surnommait affectueusement son « petit ange ».
Angel, un compagnon fidèle devenu symbole de réconfort
Le chihuahua, prénommé Angel, accompagnait souvent la princesse lors de moments plus légers, notamment durant les fêtes de fin d’année. Sa perte a ravivé une douleur déjà familière, puisque Charlène avait auparavant perdu un autre chien, Carlo, un Yorkshire, lors d’un déménagement familial survenu une dizaine d’années plus tôt à Saint-Jean-Cap-Ferrat.










