Il y a sept ans, le 5 décembre 2017, le monde de la musique française perdait l’une de ses plus grandes icônes, Johnny Hallyday, emporté par un cancer du poumon à l’âge de 74 ans.
Son décès marquait non seulement la fin d’une ère musicale mais aussi le début d’une lutte familiale amère pour son héritage, un conflit qui a révélé des fissures profondes au sein de sa famille.
La disparition de Johnny Hallyday a déclenché une véritable tempête médiatique et judiciaire autour de son héritage.
Le chanteur avait désigné ses deux dernières filles, Jade et Joy, ainsi que leur mère Laeticia, comme ses uniques héritières, laissant de côté Laura Smet et son frère David Hallyday.
Cette décision a mené à une bataille légale de plus de deux ans entre Laura, David et Laeticia, exacerbée par des tensions personnelles et des enjeux financiers considérables.
Accord et Réconciliation
Après des mois de médiations et de négociations, un accord a finalement été trouvé.
Laeticia Hallyday s’est engagée à prendre en charge la dette fiscale laissée par Johnny, tout en conservant son patrimoine immobilier.
De leur côté, Laura Smet et David Hallyday ont reçu une compensation financière significative, mettant un terme à leur lutte judiciaire.
Laura Smet et le Droit Moral
À l’occasion du septième anniversaire de la mort de son père, Laura Smet a partagé ses sentiments sur cette période tumultueuse.
Toujours un peu perdue dans le labyrinthe des droits moraux associés à l’œuvre de Johnny, elle souligne cependant l’importance du respect de son héritage artistique.
Elle apprécie que les gestionnaires de l’œuvre de son père la consultent pour toute nouvelle sortie ou utilisation de ses chansons, affirmant son désir de voir l’œuvre de son père traitée avec respect et dignité.