L’annonce de la fermeture des chaînes C8 et NRJ12 a suscité de vives réactions, notamment de la part de Cyril Hanouna, figure emblématique de C8.
Lors de son émission sur Europe 1, l’animateur n’a pas caché son indignation face à cette décision qu’il attribue à des manipulations politiques.
Peu après l’annonce par le Conseil d’État confirmant la fermeture de C8, Cyril Hanouna, surnommé « Baba », a vivement réagi sur les ondes d’Europe 1 dans son émission « On marche sur la tête ». Selon lui, cette décision était prévisible, évoquant des « magouilles et compagnie » et suggérant que le Conseil d’État serait influencé par des biais politiques. « On savait qu’il n’y avait aucune chance » que C8 garde sa place sur la TNT, a-t-il déclaré, affirmant que des sources lui avaient confié que le Conseil était « fortement à gauche ».
Un Tournant pour la Liberté d’Expression
Durant l’émission, Hanouna a insisté sur la gravité de cette décision, la qualifiant de « tournant dans l’histoire du pays ». Il a critiqué les efforts pour réprimer le succès et l’influence de « Touche pas à mon poste », un programme qu’il décrit comme véhiculant des vérités dérangeantes pour certains. Hanouna a comparé la situation à celle d’autres émissions comme « C à vous » et « Quotidien », suggérant qu’une telle issue ne serait jamais envisagée pour ces programmes.
Les Plans Futurs de l’Animateur
Malgré la fermeture imminente de la chaîne, Cyril Hanouna se montre optimiste quant à l’avenir, affirmant avoir « encore plus de propositions qu’avant ». Il rassure ses fans, les « fanzouzes », en leur promettant la continuation de ses projets télévisuels, avec des plans déjà bien avancés avec d’autres groupes audiovisuels, notamment des rumeurs le liant au groupe M6.
Soutien et Critiques
L’émission a également été l’occasion pour Hanouna et son équipe de souligner le soutien reçu via les réseaux sociaux de diverses personnalités politiques, tandis que ceux opposés à C8 ont été critiqués. Ces interactions soulignent les divisions entre les supporters de l’émission et ses détracteurs.
