Le jeudi 2 janvier marquera le retour tant attendu de l’émission «Le Bigdil» sur les écrans de RMC Story, plus de vingt ans après sa dernière diffusion sur TF1.
Sous l’égide de la société Ah! Productions, Vincent Lagaf’ reprendra son rôle emblématique d’animateur.
Dès mi-novembre, il a renoué avec l’ambiance du plateau, réplique exacte de l’original, où il a enregistré trente épisodes à un rythme soutenu, promettant plus d’épisodes si l’audience suit.
Renaissance d’une icône télévisuelle
Vincent Lagaf’, célèbre pour son dynamisme et son humour, a accepté de reprendre son rôle à la tête du «Bigdil» avec un certain sacrifice financier.
En effet, il a réduit son cachet par cinq, affirmant ne pas être motivé par l’argent mais par le désir de se mettre à l’épreuve.
Ses confessions lors de l’émission «On refait la télé» sur RTL, aux côtés d’Éric Dussart et Jade, ont mis en lumière son état d’esprit actuel et son besoin de renouer avec ses racines d’animateur.
Au-delà de la lumière des projecteurs
Malgré une carrière prospère, Vincent Lagaf’ vit aujourd’hui une retraite plus modeste qu’on ne pourrait le supposer.
Il perçoit une retraite de 1700 euros par mois, complétée par deux pensions additionnelles qui portent ses revenus à 2400 euros mensuels, un montant qu’il considère satisfaisant.
Outre son retour dans «Le Bigdil», Lagaf’ reste actif à la télévision, présentant également «SOS Garage» sur RMC Story et «Duel 2 mécaniques» sur RMC Découverte, ce qui lui permet de compléter ses revenus.
Perspectives futures
Le succès initial de ces enregistrements et l’accueil du public détermineront l’avenir de l’émission.
Si les téléspectateurs répondent présent, d’autres épisodes pourraient être rapidement commandés, confirmant ainsi le bien-fondé de cette résurrection télévisuelle.
Vincent Lagaf’ se trouve à un tournant de sa carrière, entre nostalgie et renouveau, prêt à reconquérir le cœur des Français.