Dans le monde trépidant de la finance personnelle, les cartes bancaires se sont imposées comme des outils indispensables de notre quotidien, facilitant les retraits d’argent et les achats en ligne.
Toutefois, leur utilité et omniprésence les rendent également vulnérables aux fraudes, un problème auquel les géants du secteur, tels que Mastercard, ont répondu par des innovations en sécurité.
Alors, face à un choix entre Visa et Mastercard, comment se positionnent-ils l’un par rapport à l’autre ? Découvrons-le à travers une analyse détaillée de leurs offres.
Mastercard a pris l’initiative avec son système Click to pay, inspiré des mécanismes de sécurité similaires à ceux de Google, pour améliorer la sécurité des transactions en ligne.
Cet effort vise à réduire le risque de vol d’informations de cartes bancaires, un problème largement signalé par les autorités et craint par les consommateurs.
Pendant ce temps, Visa, son principal concurrent, continue d’affirmer sa présence avec une base solide de fidélité parmi ses utilisateurs, offrant également des mesures de sécurité robustes.
La concurrence entre Visa et Mastercard se joue principalement sur les avantages et les assurances proposés. Les deux géants offrent une couverture internationale étendue, ce qui les rend pratiquement interchangeables pour les voyageurs.
Cependant, selon la destination, l’un peut avoir une acceptation légèrement supérieure par rapport à l’autre.
Les assurances associées aux cartes varient aussi en fonction de la banque émettrice, offrant différents niveaux de protection selon les besoins des consommateurs.
Dans le domaine des coûts, Visa et Mastercard présentent des différences notables. Selon les données de Panorabanque et en prenant l’exemple de LCL, une carte Visa coûte 45€ par an pour un débit immédiat et 49,29€ pour un débit différé, tandis que la Mastercard reste à 45€ annuellement, indépendamment du type de débit.
Ces détails tarifaires peuvent influencer le choix des consommateurs, surtout ceux qui sont sensibles au prix ou ceux qui préfèrent une structure de coûts plus prévisible.