La fille de Carla Bruni et Nicolas Sarkozy a provoqué un tsunami médiatique après une sortie enflammée sur TikTok.
Alors qu’un internaute lui lançait « Toujours en prison, ton père ? », la jeune femme a répondu avec une fougue qui a divisé la toile, relançant le débat sur l’exposition des enfants de personnalités publiques.
Un coup de gueule qui fait le buzz
Sur TikTok, Giulia Sarkozy n’a pas mâché ses mots face aux provocations. « Mon père n’a jamais été en prison, sur ma vie, sur mon cœur », a-t-elle clamé, avant d’ajouter, plus véhémente : « Ceux qui lui ont mis [le bracelet électronique] vont le payer. C’est une mise en scène de c*nnards ! » Des propos crus qui ont immédiatement enflammé les réseaux sociaux, partageant l’opinion entre ceux qui saluent sa loyauté familiale et ceux qui dénoncent un manque de retenue.
Guy Carlier monte au créneau : « C’est une enfant »
Le chroniqueur Guy Carlier est intervenu sur Sud Radio pour défendre la jeune fille, victime selon lui d’un « lynchage » disproportionné. « Elle s’est fait démonter, moquer, traînée dans la boue par des adultes », a-t-il déploré. Pour lui, Giulia ne fait que ce que toute fille ferait : « Défendre son papa. » Mais il pointe aussi une responsabilité collective : « Le problème, c’est qu’il n’y a aucun adulte autour pour lui dire que ce n’est pas son rôle. »
Une société qui instrumentalise les enfants de stars ?
Au-delà de la polémique, cette affaire soulève une question plus large : les enfants de personnalités publiques doivent-ils payer pour les erreurs de leurs parents ? Giulia, à seulement 12 ans, se retrouve propulsée malgré elle au cœur d’un débat qui la dépasse. Comme le souligne Carlier, « si cette vidéo est devenue un événement, c’est parce que la société l’a érigée en symbole », bien plus que pour le contenu de ses propos.
Nicolas Sarkozy : un père silencieux ?
Alors que sa fille subit les foudres des réseaux, l’ancien président reste discret. Une absence qui interroge : pourquoi n’a-t-il pas protégé Giulia de cette exposition médiatique ? Certains y voient une forme de négligence, d’autres estiment qu’il ne peut contrôler chaque parole de son enfant. Reste que la situation met en lumière la difficulté de grandir sous les projecteurs quand son nom est déjà un sujet de controverse.
Cette affaire rappelle à quel point les enfants de célébrités sont des cibles faciles sur les plateformes numériques. Entre provocations gratuites et réactions passionnelles, ils deviennent malgré eux les otages de guerres médiatiques qui ne les concernent qu’à moitié. Giulia Sarkozy en fait aujourd’hui les frais, mais elle n’est malheureusement pas la première – ni ne sera la dernière.