Bernard Montiel a récemment fait l’objet de critiques virulentes sur les réseaux sociaux suite à sa présence au Maroc en même temps que le couple présidentiel français, Emmanuel et Brigitte Macron.
Invité par le roi Mohammed VI, l’animateur a tenu à clarifier les malentendus entourant son voyage lors d’une apparition sur le plateau de « Touche pas à mon poste » ce 31 octobre.
Bernard Montiel s’est retrouvé au cœur d’une tempête médiatique après son voyage au Maroc, coïncidant avec celui des Macron.
Les internautes, prompt à spéculer, ont supposé à tort que l’animateur était du voyage grâce au couple présidentiel.
Toutefois, Montiel a révélé qu’il était en réalité un invité personnel du roi du Maroc, un détail qui change considérablement la perception de sa présence lors de cet événement officiel.
Les liens avec le couple Macron
Sur le plateau de Cyril Hanouna, Montiel a partagé des détails sur sa relation avec les Macron, mentionnant qu’il les connaît depuis dix ans mais qu’il n’a jamais été invité par eux dans un cadre officiel ou privé.
Cette mise au point visait à dissiper les rumeurs et à souligner que sa présence au Maroc n’avait rien à voir avec l’invitation du couple présidentiel.
Réponse aux critiques
Face à l’ampleur des critiques et des rumeurs sur les réseaux sociaux, Bernard Montiel a pris la décision de s’adresser directement à ses détracteurs via son compte X (anciennement Twitter).
Il a fermement réitéré qu’il avait été invité par Sa Majesté le Roi du Maroc et a souligné que sa participation n’avait engendré aucun coût pour le contribuable français.
Par ces mots, il a clairement exprimé sa frustration face aux accusations infondées et aux jalousies émanant d’une partie du public.
Une situation délicate
La situation illustre comment les personnalités publiques peuvent rapidement se retrouver au centre de controverses basées sur des suppositions erronées.
Bernard Montiel, à travers ses clarifications et réponses cinglantes, cherche non seulement à rétablir la vérité mais aussi à protéger son intégrité contre les attaques souvent virulentes du public et des médias en ligne.