Leur histoire d’amour avait tout du feu et de la braise… jusqu’à l’embrasement. Aya Nakamura et Vladimir Boudnikoff, après une relation aussi tumultueuse que médiatisée, replongent dans la tourmente. Cette fois, ce sont les réseaux sociaux qui servent de tribunal à un règlement de comptes aussi intime que dérangeant.
Pendant des années, Aya Nakamura et Vladimir Boudnikoff ont entretenu une relation faite de hauts et de bas, entre passion dévorante et tensions explosives. En 2022, leur idylle vire au drame lorsqu’une dispute dégénère en violences physiques. Les deux ex-amants sont poursuivis pour “violences réciproques sur conjoint”, avec incapacité de travail inférieure à huit jours.
Condamnés à des amendes — 10 000 euros pour elle, 5 000 pour lui — ils évitent la prison, mais leur image en sort écornée. Malgré cela, un semblant d’apaisement semblait s’être installé entre les deux anciens partenaires… Jusqu’à ce que Vladimir choisisse de rouvrir les plaies sur la place publique.
Vladimir Boudnikoff balance tout sur Instagram
C’est sur Instagram que Vladimir Boudnikoff, visiblement amer, a décidé de faire imploser ce fragile équilibre. Dans une story postée il y a quelques heures, il dévoile une prétendue “liste” d’hommes avec lesquels Aya Nakamura aurait entretenu des relations sexuelles depuis leur rupture. On y retrouve des noms bien connus du grand public : Damso, Niska, Balotelli, Maluma, Thuram… et même une allusion à une « bagarre en studio ».
“Je ne vais pas faire la liste, c’est trop long… En trois ans, ça fait du monde”, ironise-t-il, avant de lancer une pique finale : “Et tes filles ? Dans tout ça ?” Un sous-entendu lourd, visant directement la vie de mère d’Aya Nakamura, et qui fait basculer cette sortie dans une attaque personnelle d’une rare virulence.
Un retour sur une scène d’humiliations publiques
Ce n’est pas la première fois que Vladimir choisit de se défendre ou de se justifier en public. Après leur condamnation judiciaire, il avait tenté de minimiser l’affaire en affirmant qu’il ne s’agissait que “de bêtises”. Se décrivant comme “un simple fumeur devant Netflix”, il niait toute violence réelle : “Je ne suis pas El Chapo”, écrivait-il alors, dans une tentative maladroite de désamorcer l’ampleur médiatique de l’affaire.
Mais aujourd’hui, ce nouveau coup d’éclat numérique fait voler en éclats les velléités de réconciliation. Plus encore, il jette une lumière crue sur les tensions persistantes entre les deux ex, et interroge sur les motivations de Vladimir : simple douleur d’un père privé de repères, ou volonté de nuire délibérément à l’image d’une femme libre et puissante ?
Aya Nakamura soutenue massivement par ses fans
Face à cette déferlante d’accusations, les fans de la chanteuse n’ont pas tardé à réagir. Sur les réseaux sociaux, nombreux sont ceux qui prennent la défense d’Aya Nakamura, dénonçant une tentative claire de “slut-shaming” et de manipulation émotionnelle par l’ex-compagnon.
“Sa vie sexuelle lui appartient, point barre”, écrit un internaute. Un autre souligne : “Même s’il est le père de sa fille, ça ne lui donne aucun droit de salir la mère publiquement. Ce qu’il fait est indigne.” Certains vont plus loin, évoquant un comportement jaloux, voire toxique, tandis que d’autres dénoncent une forme de harcèlement numérique.
Une attaque révélatrice du sexisme ambiant ?
Cette affaire remet cruellement en lumière les injonctions contradictoires imposées aux femmes, et plus encore aux femmes célèbres. Quand une artiste comme Aya Nakamura revendique sa liberté, ses choix, sa sexualité, elle devient la cible idéale pour ceux qui peinent à supporter son émancipation.
En exposant des informations privées, non vérifiées et humiliantes, Vladimir Boudnikoff alimente un discours sexiste déguisé sous des apparences de “vérité”. Une rhétorique classique, qui cherche à décrédibiliser une femme en s’attaquant à ce qu’elle est plutôt qu’à ce qu’elle fait.
Un nouveau chapitre amer dans une saga déjà lourde
La rupture entre Aya Nakamura et Vladimir Boudnikoff semblait appartenir au passé judiciaire. Elle revient aujourd’hui sur le devant de la scène sous une forme bien plus insidieuse. La justice avait parlé, mais les réseaux sociaux sont devenus l’outil de vengeance silencieuse, un champ de bataille où l’honneur et l’intime se livrent une guerre sans arbitre.